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Dependances nuisibles
1. DÉPENDANCES NUISIBLES Le tabac, l’alcool, les drogues et la cyberdépendance L’alcool Tabac Cyberdépendance Drogues
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15. LES EFFETS DE LA CONSOMMATION ABUSIVE D’ALCOOL Qu'ils aient un problème de dépendance à l'alcool ou de consommation excessive, les alcooliques risquent d'endommager à peu près tous les organes de leur corps. En fait, les effets délétères de l'alcool peuvent avoir un impact néfaste sur tous les systèmes de l'organisme : les organes internes (foie, pancréas, oesophage, estomac et intestin), la circulation sanguine (artères, coeur et système cérébrovasculaire, le système nerveux, la santé mentale et même sur le foetus. Les intoxications à l'alcool engendrent aussi des problèmes sociaux pouvant avoir de graves incidences médicales.
16. LES EFFETS DE LA CONSOMMATION ABUSIVE D’ALCOOL L’alcool constitue aussi un risque d’attraper ou de donner un ITSS, de se livrer à la violence verbale et physique et même de mourir d’une intoxication grave ( plus de 300mg d’alcool dans le sang). C’est ce qui arrive souvent lors de calage. Quand l’abus d’alcool devient chronique, la santé mentale et physique en est sérieusement affectée. Malnutrition, cirrhose du foie, hypertension artérielle, perte de mémoire, cancer de la bouche ou de la gorge, intoxication du fœtus pendant la grossesse, problèmes conjugaux et familiaux, état dépressif, relations désastreuses avec les autres, comportement antisocial … et plusieurs autres conséquences.
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19. LE TAUX D’ALCOOLÉMIE Conduire avec un certain taux d’alcool dans le sang est maintenant considéré comme un acte criminel. Au Québec, la loi qui interdit strictement la conduite avec facultés affaiblies fixe l’alcoolémie tolérée au volant à 80 mg d’alcool par 100 mL de sang (0,08) et à 0 mg dans le cas d’un permis probatoire. Après deux consommations en une heure, le taux de 0,08 est souvent atteint. Une consommation est l ’équivalent d’un verre de bière (340 mL, ou 12 oz), de vin (125 mL, ou 4,5 oz) ou de spiritueux (40 mL, ou 1,5 oz).
20. LES DROGUES ILLÉGALES : DE PLUS EN PLUS DURES Une drogue, c’est une substance qui agit sur le psychisme d’une personne en modifiant son fonctionnement mental, donc ses perceptions, son humeur, sa conscience et son comportement. Certaines drogues sont permises par la loi tel que l’alcool, le tabac, les antidépresseurs et les stabilisateurs de l’humeur. Certaines drogues sont toutefois interdites selon la loi tel que la cocaïne, l’héroïne, l’ecstasy, le cristal meth et le cannabis (sauf sur ordonnance). Le taux de consommation de cannabis est plus élevé chez les 15 à 24 ans que chez les 25 et plus, soit (32,2% contre 7,3%).
21. QUAND LA CONSOMMATION DEVIENT UN PROBLÈME Les motivations qui mènent les jeunes à consommer sont nombreuses : chercher le plaisir, faire comme tout le monde, épater ses amis, tenter de nouvelles expériences, tromper son ennui, se défouler, combattre sa timidité, etc. Le premier problème lié à la consommation de drogues, c’est de ne pas connaître leur contenu et le deuxième, c’est que cette dépendance peut causer de graves ennuis à la personne. La victime peut subir des torts physiques, mentaux, sociaux, émotionnels, juridiques ou économiques.
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24. LA CYBERDÉPENDANCE Le problème de cyberdépendance ne se mesure pas au temps qu’on passe devant l’écran d’ordinateur, car on peut être en ligne plusieurs heures et décrocher sans difficulté une fois qu’on a terminé, ce n’est pas être cyberdépendant. Le problème se situe au niveau du cerveau et il met en scène la dopamine. Chez certaines personnes, Internet et les jeux en ligne stimulent la production de ce neurotransmetteur. Elles ne sont pas capable de décrocher et c’est ce qui mène à la cyberdépendance.
25. LA CYBERDÉPENDANCE La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance . Comment décrocher : La solution n’est pas facile aujourd’hui, car on a besoin de ces outils pour étudier ou travailler. Il faut donc que le cyberdépendant réduise sa dépendance au monde virtuel en le côtoyant chaque jour. Il faut donc qu’il réduise son temps passé sur Internet. Pour y arriver, le cyberdépendant doit demander de l’aide de ses proches, d’un ami, mais La meilleure solution pour le cyberdépendant est de consulter un professionnel comme un psychologue ou un médecin qui l'aidera à comprendre son problème, à en identifier les causes et qui pourra l'orienter vers les ressources disponibles pour vaincre sa dépendance.