El documento describe repetidamente las acciones de encender y apagar una luz, alternando entre las dos acciones múltiples veces antes de encender la luz por última vez para regresar a Jenlexito's.
El documento repite instrucciones de encender y apagar una luz varias veces, alternando entre las acciones de encender y apagar la luz de forma continua y repetida.
O documento discute o uso da tecnologia na escola estadual "Mário de Andrade", mencionando como a tecnologia é usada nas escolas e quais professores fazem uso dela em suas aulas.
O documento discute o uso da tecnologia na escola estadual "Mário de Andrade", mencionando como a tecnologia é usada nas escolas e quais professores fazem uso dela em suas aulas.
El informe describe un taller sobre la herramienta GeoGebra. Se presentaron sus funciones básicas como dibujar geometría, ingresar ecuaciones y gráficas. También se explicaron conceptos matemáticos como funciones, derivadas e integrales usando esta aplicación interactiva.
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This document discusses several topics related to computer ethics including plagiarism, copyright, and netiquette. Plagiarism involves copying others' work and passing it off as your own, which can result in serious consequences like failing grades or job termination. Copyright protects original creative works from being used without permission. Netiquette refers to polite and respectful online behavior, such as using appropriate language and not insulting others. The document emphasizes avoiding plagiarism, following copyright rules, and interacting respectfully online.
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El informe describe un taller sobre la herramienta GeoGebra. Se presentaron sus funciones básicas como dibujar geometría, ingresar ecuaciones y gráficas. También se explicaron conceptos matemáticos como funciones, derivadas e integrales usando esta aplicación interactiva.
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This document appears to be in an unknown language or code and contains no discernible words, sentences or meaningful information that can be summarized in 3 sentences or less. The document only includes non-alphabetic characters and symbols with no context.
Fiscalité du patrimoine, pour une réforme au service de l'économieFondation iFRAP
La réforme de la taxation du patrimoine et de l'ISF lancée par le Président de la République devrait être une étape importante de l'histoire économique française. Certains pourront se demander si le projet n'est pas définitivement bouclé dans le cadre d'une réforme a minima, mais nous parions que dans les semaines qui viennent et avant que ce projet ne devienne force de loi, il y aura encore de nombreux débats et amendements. Nous n'avons pas voulu ajouter un énième analyse mais définir une fiscalité du patrimoine possible et sans effets pervers, qui rapporte des ressources sans faire fuir la matière imposable, une fiscalité en faveur de l'économie, source de croissance et d'emploi.
StoryJumper is a website that allows users to create and publish digital stories. It is designed for both personal and educational use. Stories can be illustrated with uploaded photos and drawings. The site is easy for children and students of all ages to use. Teachers have found that StoryJumper engages students and strengthens both their writing and technology skills. It also allows for collaboration and creative expression.
Assemblée nationale : la mandature de la transparence ?Fondation iFRAP
Le 17 juin 2012, 577 députés sont sortis des urnes pour siéger dans une Assemblée nationale dotée d'une forte autonomie au même titre que tous les pouvoirs publics constitutionnels. Mais cette autonomie confine aujourd'hui à l'opacité pour un budget annuel de fonctionnement et d'investissement de 539 millions d'euros. Combien coûte la représentation nationale et comment se répartissent les dépenses ? Qui contrôle ce budget ? L'Assemblée nationale est-elle à la hauteur des standards européens ? Aujourd'hui, les données sur l'Assemblée nationale sont confuses et secrètes, particulièrement celles relatives à la rémunération des agents. Les dépenses de personnels y apparaissent pourtant beaucoup plus élevées qu'au Bundestag ou à la Chambre des Communes. La nouvelle Chambre doit inscrire son travail sous le signe de la transparence. Ce travail donne des pistes et chiffre les économies possibles.
This document provides an overview of internet programming and XHTML. It discusses the basic structure of a web page, including the <head> and <body> sections. Common tags for formatting text like headers, links, images and forms are described. It also covers attributes for setting font properties, color, and size. The goal is to understand the basics of developing web pages using XHTML.
Le regard de Paul Hernu sur la gestion décentralisée des collectivités territ...Fondation iFRAP
Paul Hernu, Conseil maître honoraire à la Cour des comptes, et auteur d’un ouvrage récent sur les
finances publiques : Finances publiques, une gestion de crise, les outils pour y faire face (éd. du
Papyrus, 2015).
Les collectivités territoriales françaises ont longtemps été soumises à l’empire d’un
Etat unitaire centralisé. Si la loi municipale du 5 avril 1884 disposait que : «Le conseil
municipal règle, par ses délibérations, les affaires de la commune », les communes
demeuraient sous la tutelle administrative et financière de l’Etat et il a fallu attendre la loi du
2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions
pour reconnaître aux départements et aux régions la même compétence générale que celle
reconnue aux communes pour régler les affaires sur leur territoire respectif et, d’une manière
générale, pour supprimer la tutelle administrative et financière de l’Etat sur toutes les
catégories de collectivités territoriales.
Ainsi était né, à travers une quarantaine de lois et quelque trois cents décrets, ce qu’il
est devenu coutumier d’appeler l’Acte I de la décentralisation, nouveau régime de
décentralisation administrative à la française formant le socle des développements qui lui ont
été donnés par la suite.
Les réformes successives du cadre juridique et financier de la gestion décentralisée
des collectivités locales ont sans cesse accru leur autonomie de gestion, mais le plein exercice
de cette autonomie continue à buter sur des obstacles ou des freins qui entretiennent
l’incompréhension, voire certaines formes de conflits, dans les relations avec l’Etat.
During the 1930s, totalitarian governments led by fascist leaders like Adolf Hitler in Germany and Benito Mussolini in Italy gained power in those countries as well as the Soviet Union under Joseph Stalin. World War 2 began in 1939 with Germany invading Poland, and by 1941 Germany had conquered much of Europe while Japan had expanded its empire in Asia and the Pacific, culminating with their attack on the US naval base at Pearl Harbor, Hawaii on December 7, 1941 which led to America's entry into the war.
Baisser de 100 milliards les impôts et cotisationsFondation iFRAP
Cet écart trouve sa cause dans nos cotisations employeur qui sont bien supérieures à celles des Britanniques et des Allemands (11,6 points de PIB face à 4,1 et 6,6). À noter que les cotisations salariées sont plus faibles au Royaume-Uni mais plus lourdes en Allemagne car plus équilibrées entre employeur et employé. Ajouter à cela, le poids terrible des taxes sur la production (98 milliards d’euros en France, 19 en Allemagne, 36 au Royaume-Uni). Et, pour l’impôt sur les sociétés, les entreprises britanniques et allemandes paient 6 milliards d’euros de moins que les entreprises françaises.
Pour les ménages, l’addition de l’impôt sur le revenu aux taxes locales et à la CSG fait apparaÎtre que les premiers niveaux de revenus sont bien moins imposés en France qu’au Royaume-Uni et cela certainement car les revenus de la solidarité sont imposés outre-Manche comme les revenus du travail. Pour les ménages au niveau médian de revenus (entre 2 200 euros et 3 200 euros par mois), le taux d’impôt payé est à peu près comparable au Royaume-Uni. Pour les dernières tranches, le poids de l’impôt est comparable aux autres pays uniquement grâce à l’existence des niches fiscales tant décriées.
En matière de fiscalité du capital des ménages, le taux d’imposition est clairement exorbitant. Nous sommes le seul pays à conserver un impôt sur la fortune aussi lourd doublonnant avec les taxes foncières. Sur les revenus du capital, les Britanniques ont baissé la pression fiscale ces dernières années, tandis que la France l’a énormément augmentée, en imposant au barème de l’impôt sur le revenu les revenus du capital, situation unique en Europe. Les Allemands paient au final 58 milliards d’euros de moins que les Français sur le patrimoine (revenus et stocks).
Plutôt que d’un grand soir fiscal c’est d’une réforme pensée et réfléchie dont nous avons besoin, afin de reconstituer des marges de manoeuvre et de renforcer l’attractivité de notre économie, permettant de faire revenir nos fortunes, nos créateurs et nos talents. Nous formulons 10 propositions à 80 % sur les entreprises et à 20 % sur le capital, telle est la recette pas politiquement correcte qui nous permettra de créer à nouveau des entreprises et des emplois en France. Mais il sera indispensable de faire des économies pour 100 milliards d’euros car la pression fiscale est partout au maximum dans l’Hexagone.
Libérer le droit du travail : temps de travail, représentation syndicale, fle...Fondation iFRAP
La France est championne d’Europe de l’impôt. Elle caracole à plus de 45% de taux de prélèvements obligatoires, quand le Royaume-Uni est à 36% et l’Allemagne à 38%. Avec 360 taxes et impôts, la France est médaille d’or de la complexité fiscale et du mille-feuille de taxes. Pourtant, quand il s’agit de savoir ce qu’il faut réformer dans notre système d’imposition, il n’y a plus personne. Le débat se partage entre ceux qui assurent qu’on ne peut pas baisser la fiscalité car on est déjà en déficit et ceux qui veulent carrément une révolution fiscale.
La réalité française sur la fiscalité ?
Nous n’avons plus aucune marge de manœuvre. Il va donc falloir baisser les prélèvements partout. La raison est simple : sur les entreprises et sur les ménages, nous sommes allés trop loin. Le premier élément qui saute aux yeux : nos entreprises tricolores paient en points de PIB beaucoup plus que les entreprises allemandes ou britanniques, plus de 18 points de PIB de fiscalité, quand les Britanniques sont à 8,6% et les Allemands à 10,2%. Les chiffres sont éloquents : l’écart de fiscalité pesant sur les entreprises que nous avons avec l’Allemagne est de 160 milliards, avec le Royaume-Uni, de 200 milliards. Rien que ça.
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Fiscalité du patrimoine, pour une réforme au service de l'économieFondation iFRAP
La réforme de la taxation du patrimoine et de l'ISF lancée par le Président de la République devrait être une étape importante de l'histoire économique française. Certains pourront se demander si le projet n'est pas définitivement bouclé dans le cadre d'une réforme a minima, mais nous parions que dans les semaines qui viennent et avant que ce projet ne devienne force de loi, il y aura encore de nombreux débats et amendements. Nous n'avons pas voulu ajouter un énième analyse mais définir une fiscalité du patrimoine possible et sans effets pervers, qui rapporte des ressources sans faire fuir la matière imposable, une fiscalité en faveur de l'économie, source de croissance et d'emploi.
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Assemblée nationale : la mandature de la transparence ?Fondation iFRAP
Le 17 juin 2012, 577 députés sont sortis des urnes pour siéger dans une Assemblée nationale dotée d'une forte autonomie au même titre que tous les pouvoirs publics constitutionnels. Mais cette autonomie confine aujourd'hui à l'opacité pour un budget annuel de fonctionnement et d'investissement de 539 millions d'euros. Combien coûte la représentation nationale et comment se répartissent les dépenses ? Qui contrôle ce budget ? L'Assemblée nationale est-elle à la hauteur des standards européens ? Aujourd'hui, les données sur l'Assemblée nationale sont confuses et secrètes, particulièrement celles relatives à la rémunération des agents. Les dépenses de personnels y apparaissent pourtant beaucoup plus élevées qu'au Bundestag ou à la Chambre des Communes. La nouvelle Chambre doit inscrire son travail sous le signe de la transparence. Ce travail donne des pistes et chiffre les économies possibles.
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Le regard de Paul Hernu sur la gestion décentralisée des collectivités territ...Fondation iFRAP
Paul Hernu, Conseil maître honoraire à la Cour des comptes, et auteur d’un ouvrage récent sur les
finances publiques : Finances publiques, une gestion de crise, les outils pour y faire face (éd. du
Papyrus, 2015).
Les collectivités territoriales françaises ont longtemps été soumises à l’empire d’un
Etat unitaire centralisé. Si la loi municipale du 5 avril 1884 disposait que : «Le conseil
municipal règle, par ses délibérations, les affaires de la commune », les communes
demeuraient sous la tutelle administrative et financière de l’Etat et il a fallu attendre la loi du
2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions
pour reconnaître aux départements et aux régions la même compétence générale que celle
reconnue aux communes pour régler les affaires sur leur territoire respectif et, d’une manière
générale, pour supprimer la tutelle administrative et financière de l’Etat sur toutes les
catégories de collectivités territoriales.
Ainsi était né, à travers une quarantaine de lois et quelque trois cents décrets, ce qu’il
est devenu coutumier d’appeler l’Acte I de la décentralisation, nouveau régime de
décentralisation administrative à la française formant le socle des développements qui lui ont
été donnés par la suite.
Les réformes successives du cadre juridique et financier de la gestion décentralisée
des collectivités locales ont sans cesse accru leur autonomie de gestion, mais le plein exercice
de cette autonomie continue à buter sur des obstacles ou des freins qui entretiennent
l’incompréhension, voire certaines formes de conflits, dans les relations avec l’Etat.
During the 1930s, totalitarian governments led by fascist leaders like Adolf Hitler in Germany and Benito Mussolini in Italy gained power in those countries as well as the Soviet Union under Joseph Stalin. World War 2 began in 1939 with Germany invading Poland, and by 1941 Germany had conquered much of Europe while Japan had expanded its empire in Asia and the Pacific, culminating with their attack on the US naval base at Pearl Harbor, Hawaii on December 7, 1941 which led to America's entry into the war.
Baisser de 100 milliards les impôts et cotisationsFondation iFRAP
Cet écart trouve sa cause dans nos cotisations employeur qui sont bien supérieures à celles des Britanniques et des Allemands (11,6 points de PIB face à 4,1 et 6,6). À noter que les cotisations salariées sont plus faibles au Royaume-Uni mais plus lourdes en Allemagne car plus équilibrées entre employeur et employé. Ajouter à cela, le poids terrible des taxes sur la production (98 milliards d’euros en France, 19 en Allemagne, 36 au Royaume-Uni). Et, pour l’impôt sur les sociétés, les entreprises britanniques et allemandes paient 6 milliards d’euros de moins que les entreprises françaises.
Pour les ménages, l’addition de l’impôt sur le revenu aux taxes locales et à la CSG fait apparaÎtre que les premiers niveaux de revenus sont bien moins imposés en France qu’au Royaume-Uni et cela certainement car les revenus de la solidarité sont imposés outre-Manche comme les revenus du travail. Pour les ménages au niveau médian de revenus (entre 2 200 euros et 3 200 euros par mois), le taux d’impôt payé est à peu près comparable au Royaume-Uni. Pour les dernières tranches, le poids de l’impôt est comparable aux autres pays uniquement grâce à l’existence des niches fiscales tant décriées.
En matière de fiscalité du capital des ménages, le taux d’imposition est clairement exorbitant. Nous sommes le seul pays à conserver un impôt sur la fortune aussi lourd doublonnant avec les taxes foncières. Sur les revenus du capital, les Britanniques ont baissé la pression fiscale ces dernières années, tandis que la France l’a énormément augmentée, en imposant au barème de l’impôt sur le revenu les revenus du capital, situation unique en Europe. Les Allemands paient au final 58 milliards d’euros de moins que les Français sur le patrimoine (revenus et stocks).
Plutôt que d’un grand soir fiscal c’est d’une réforme pensée et réfléchie dont nous avons besoin, afin de reconstituer des marges de manoeuvre et de renforcer l’attractivité de notre économie, permettant de faire revenir nos fortunes, nos créateurs et nos talents. Nous formulons 10 propositions à 80 % sur les entreprises et à 20 % sur le capital, telle est la recette pas politiquement correcte qui nous permettra de créer à nouveau des entreprises et des emplois en France. Mais il sera indispensable de faire des économies pour 100 milliards d’euros car la pression fiscale est partout au maximum dans l’Hexagone.
Libérer le droit du travail : temps de travail, représentation syndicale, fle...Fondation iFRAP
La France est championne d’Europe de l’impôt. Elle caracole à plus de 45% de taux de prélèvements obligatoires, quand le Royaume-Uni est à 36% et l’Allemagne à 38%. Avec 360 taxes et impôts, la France est médaille d’or de la complexité fiscale et du mille-feuille de taxes. Pourtant, quand il s’agit de savoir ce qu’il faut réformer dans notre système d’imposition, il n’y a plus personne. Le débat se partage entre ceux qui assurent qu’on ne peut pas baisser la fiscalité car on est déjà en déficit et ceux qui veulent carrément une révolution fiscale.
La réalité française sur la fiscalité ?
Nous n’avons plus aucune marge de manœuvre. Il va donc falloir baisser les prélèvements partout. La raison est simple : sur les entreprises et sur les ménages, nous sommes allés trop loin. Le premier élément qui saute aux yeux : nos entreprises tricolores paient en points de PIB beaucoup plus que les entreprises allemandes ou britanniques, plus de 18 points de PIB de fiscalité, quand les Britanniques sont à 8,6% et les Allemands à 10,2%. Les chiffres sont éloquents : l’écart de fiscalité pesant sur les entreprises que nous avons avec l’Allemagne est de 160 milliards, avec le Royaume-Uni, de 200 milliards. Rien que ça.