Cette présentation analyse les tendances des prix internationaux et perspectives 2020 des principaux denrées alimentaires. Elle a été présenté par Sy Martial Traoré, CILSS/AGRHYMET, au nom de la FAO, lors de la 35e réunion annuelle du RPCA le 9 décembre 2019 à Paris.
Cette présentation analyse les tendances des prix internationaux et perspectives 2020 des principaux denrées alimentaires. Elle a été présenté par Sy Martial Traoré, CILSS/AGRHYMET, au nom de la FAO, lors de la 35e réunion annuelle du RPCA le 9 décembre 2019 à Paris.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
L'Insee a publié, le 28 février 2017, les indices des prix agricoles.
Selon l'Insee, en janvier 2017, les prix des produits agricoles augmentent de nouveau vivement sur un an (+8,4 % après +6,7 % en décembre). Hors fruits et légumes, ils sont stables sur le mois et en hausse de 7,0 % sur un an.
Cette présentation analyse les tendances des prix internationaux et perspectives 2020 des principaux denrées alimentaires. Elle a été présenté par Sy Martial Traoré, CILSS/AGRHYMET, au nom de la FAO, lors de la 35e réunion annuelle du RPCA le 9 décembre 2019 à Paris.
Pour la plupart des systèmes laitiers de plaine, le revenu estimé en 2019 est parmi les plus favorables de la dernière décennie. Par rapport à 2018, on peut parler de stabilité : les évolutions des produits et des charges se sont neutralisées en terme de revenu. La légère augmentation des chiffres d’affaires, grâce principalement à des livraisons en hausse et un prix du lait qui gagne quelques euros, a été annihilée par la progression quasi-équivalente de l’ensemble des postes de charges. En revanche, les systèmes bio de plaine et ceux des montagnes et piémonts du Sud subiraient des baisses.
Amorcée en 2018, la baisse des revenus des éleveurs spécialisés, bien qu’amortie par des aides sécheresse, se poursuit en 2019. À nouveau, ces élevages sont les plus impactés par le déficit hydrique et la chaleur estivale 2019.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
L'Insee a publié, le 28 février 2017, les indices des prix agricoles.
Selon l'Insee, en janvier 2017, les prix des produits agricoles augmentent de nouveau vivement sur un an (+8,4 % après +6,7 % en décembre). Hors fruits et légumes, ils sont stables sur le mois et en hausse de 7,0 % sur un an.
Cette présentation analyse les tendances des prix internationaux et perspectives 2020 des principaux denrées alimentaires. Elle a été présenté par Sy Martial Traoré, CILSS/AGRHYMET, au nom de la FAO, lors de la 35e réunion annuelle du RPCA le 9 décembre 2019 à Paris.
Pour la plupart des systèmes laitiers de plaine, le revenu estimé en 2019 est parmi les plus favorables de la dernière décennie. Par rapport à 2018, on peut parler de stabilité : les évolutions des produits et des charges se sont neutralisées en terme de revenu. La légère augmentation des chiffres d’affaires, grâce principalement à des livraisons en hausse et un prix du lait qui gagne quelques euros, a été annihilée par la progression quasi-équivalente de l’ensemble des postes de charges. En revanche, les systèmes bio de plaine et ceux des montagnes et piémonts du Sud subiraient des baisses.
Amorcée en 2018, la baisse des revenus des éleveurs spécialisés, bien qu’amortie par des aides sécheresse, se poursuit en 2019. À nouveau, ces élevages sont les plus impactés par le déficit hydrique et la chaleur estivale 2019.
Eurostat a publié, le 28 novembre 2016, un communiqué de presse sur la production agricole dans l'UE.
Eurostat révèle que la production agricole totale dans l'UE a reculé de 1,8 % en 2015 par rapport à 2014.
La baisse serait principalement due à une chute de la production animale.
Selon les États membres, les évolutions divergents. Les plus fortes augmentations ont été enregistrées en Lettonie (+8,8%), en Lituanie (+5,9%) et en Chypre (+4,7%). Les baisses les plus marquées ont été enregistrées au Luxembourg (-9,9%), en Slovaquie (-9,7%) et en République Tchèque (-8,6%).
Le communiqué de presse intégral est reproduit ci-après.
10e édition des Marchés Mondiaux du Lait et de la Viande
Séance : Malgré la Covid, l’Asie conforte sa place dans le commerce mondial de lait et de viande bovine
Par Jean-Marc Chaumet, GEB-Idele
L'Insee a publié, le 28 février 2017, les principaux indicateurs des comptes nationaux trimestriels.
Selon l'Insee, au 4e trimestre 2016, le PIB en volume accélère de 0,4% après 0,2% au 3e trimestre.
En moyenne sur l’année, l’activité progresse de 1,1 %, soit quasiment autant qu’en 2015 (+1,2 %). Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à +1,2 % en 2016, après +1,3 % en 2015.
C’est un concours biennal qui s’adresse à tous les professionnels de l’emballage, fabricants et utilisateurs (Agroalimentaire, Pharmaceutique, Chimique..), imprimeurs, ainsi que les agences de communication spécialisées.
Le but poursuivi de ce concours est la reconnaissance et la promotion concrète de toute nouvelle création ou amélioration d’emballage ainsi que la distinction des innovations packaging qui offrent une valeur ajoutée du produit dans un contexte d’amélioration des caractéristiques techniques de l’emballage. La plus grande promotion sera faite autour du Concours National du Meilleur Emballage auprès de la presse, la radio, la télévision et sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, chaîne yotube).
Le jury de ce concours est composé des représentations des chambres et des fédérations sectorielles, des Ministères (Industrie, Environnement, Santé, Agriculture, commerce…), des universitaires, ainsi que de la grande distribution.
Parmi les emballages primés trois prix seront décernés pour chaque catégorie selon le règlement, à l’emballage ayant obtenu la meilleure note.
La Date limite de réception des dossier le 25 Mars 2020
C’est un concours biennal qui s’adresse à tous les professionnels de l’emballage, fabricants et utilisateurs (Agroalimentaire, Pharmaceutique, Chimique..), imprimeurs, ainsi que les agences de communication spécialisées.
Le but poursuivi de ce concours est la reconnaissance et la promotion concrète de toute nouvelle création ou amélioration d’emballage ainsi que la distinction des innovations packaging qui offrent une valeur ajoutée du produit dans un contexte d’amélioration des caractéristiques techniques de l’emballage. La plus grande promotion sera faite autour du Concours National du Meilleur Emballage auprès de la presse, la radio, la télévision et sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, chaîne yotube).
Le jury de ce concours est composé des représentations des chambres et des fédérations sectorielles, des Ministères (Industrie, Environnement, Santé, Agriculture, commerce…), des universitaires, ainsi que de la grande distribution.
Parmi les emballages primés trois prix seront décernés pour chaque catégorie selon le règlement, à l’emballage ayant obtenu la meilleure note.
La Date limite de réception des dossier le 25 Mars 2020
C’est un concours biennal qui s’adresse à tous les professionnels de l’emballage, fabricants et utilisateurs (Agroalimentaire, Pharmaceutique, Chimique..), imprimeurs, ainsi que les agences de communication spécialisées.
Le but poursuivi de ce concours est la reconnaissance et la promotion concrète de toute nouvelle création ou amélioration d’emballage ainsi que la distinction des innovations packaging qui offrent une valeur ajoutée du produit dans un contexte d’amélioration des caractéristiques techniques de l’emballage. La plus grande promotion sera faite autour du Concours National du Meilleur Emballage auprès de la presse, la radio, la télévision et sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, chaîne yotube).
Le jury de ce concours est composé des représentations des chambres et des fédérations sectorielles, des Ministères (Industrie, Environnement, Santé, Agriculture, commerce…), des universitaires, ainsi que de la grande distribution.
Parmi les emballages primés trois prix seront décernés pour chaque catégorie selon le règlement, à l’emballage ayant obtenu la meilleure note.
La Date limite de réception des dossier le 25 Mars 2020
L’Association Tunisienne de Biotechnologie et Valorisation de Bio-Ressources (AT-BVBR) organisera du 22 au 25 mars 2020 le 8ème forum international des Biotechnologie et Valorisation de Bio-Ressources. Les enseignant-chercheurs, les doctorants, les professionnels du secteur et tous les intervenants en Biotechnologie seront accueillis dans un cadre convivial permettant la présentation et la discussion des travaux, l’échange de connaissances et l’établissement de collaborations scientifique.
L’AT-BVBR 2020 sera une excellente occasion de présenter tous les projets de recherche qui aideront les gouvernements, les chercheurs, les universitaires et tous les professionnels à relever les défis auxquels ils sont confrontés dans la recherche de solutions pour le développement de différents domaines de la biotechnologie.
Balance alimentaire Octobre 2019: déficit enregistré
1. Page 1
Observatoire National de l’Agriculture Novembre 2019
BALANCE COMMERCIALE GLOBALE
Le déficit de la balance commerciale globale du pays au terme
du mois d’octobre 2019 a augmenté en comparaison à l’année
précédente enregistrant une hausse de 3,3% en octobre 2019
(-16506,5 MD1) par rapport à fin octobre 2018 (-15985,5 MD).
Le total des importations est passé de 49220,3 MD en octobre
2018 à 53234,8 MD en octobre 2019 soit une hausse de 8,2%.
Les exportations ont augmenté de 10,5% passant de 33234,8
MD à 36728,3 MD.
Les deux groupes de produits celui de l’énergie et celui des
matières premières et demi-produits ont représenté ensemble
47,5% des importations totales du pays.
Les importations alimentaires n’ont représenté que 9,0% des
importations totales.
Structure des échanges de la Tunisie à fin Octobre 2019
(en MD)
1 MD : Millions de dinars.
3440,2
11587,6
7311,6
12116,1
2272,8
4784,7
16681,3
10727,5
12421,0
8620,2
20000 10000 0 10000 20000
Alimentation
Mat. 1ère & demi-produits
Biens d'équipement
Biens de consommation
Energie
Importations
Exportations
Source : INS.
LA BALANCE COMMERCIALE ALIMENTAIRE
O C T O B R E 2 0 1 9
سجلالميزانالتجاري
الغذائيخاللشهرأكتوبر
2019عجزابقيمة1344,5
مدمقابلعجزبقيمة375,8
مدفينفسالفترةمنالسنة
،المنقضيةإذبلغتنسبة
تغطيةالواردات
بالصادرات%71,9مقابل
%91,4خاللشهرأكتوبر
2018.وسجلتقيمة
الصادراتالغذائيةانخفاض
بنسبة%14,3فيحين
ارتفعتالواردات
بنسبة.%9,0ويعودهذا
العجزالىارتفاعنسق
الوارداتالراجعالرتفاع
أسعارالحبوبجانب إلى
زيت صادرات نسق تراجع
الزيتون.
2. Page 2
Observatoire National de l’Agriculture Novembre 2019
BALANCE COMMERCIALE ALIMENTAIRE
La balance commerciale alimentaire a enregistré durant le mois d’octobre 2019 un déficit de
1344,5 MD contre un déficit de 375,8 MD durant la même période de l’année précédente ;
enregistrant ainsi, un taux de couverture de 71,9% contre 91,4% durant le mois d’octobre
2018. Toutefois, ce déficit représente seulement 8,1% de celui de la balance commerciale
globale.
En termes de valeur, les exportations alimentaires ont enregistré une baisse de 14,3% alors
que les importations ont augmenté de 9,0%.
Le déficit est le résultat de la hausse de la valeur des importations en particulier celles des
céréales suite à la hausse des prix et la réduction du rythme des exportations de l’huile
d’olive.
Balance commerciale alimentaire à fin Octobre 2019
En MD Variation (%)
10 mois-18 10 mois-19 2018/17 2019/18
Exportations 4014,8 3440,2 63,7 -14,3
Importations 4390,6 4784,7 17,4 9,0
Solde -375,8 -1344,5 - -
Taux de couverture (%) 91,4% 71,9% - -
Source : INS.
Evolution du solde cumulé de la balance
commerciale alimentaire au cours des dix
mois de 2018 et 2019.
Taux de couverture cumulé de la balance
commerciale alimentaire au cours des dix
mois de 2019.
76
268,3 222,6 219,4 219,3 226 182,7
-162,8
-294,0
-375,8
-142,9
-91,3
-211,8
-364,8
-533,8
-679,4
-801,4
-880,6
-1114,5
-1344,5
-1600
-1400
-1200
-1000
-800
-600
-400
-200
0
200
400
MD
Solde 2018 Solde 2019
Source : INS.
0%
50%
100%
150%
200%
250%
Source : Calculs de l'ONAGRI d'après l'INS, 2019.
3. Page 3
Observatoire National de l’Agriculture Novembre 2019
EXPORTATIONS
Part des produits exportés dans les exportations alimentaires totales à fin octobre
2019
Evolution des principaux produits exportés à fin octobre 2019 et 2018
2018 2019 2019/18 2018 2019 2019/18 2018 2019 2019/18
Produits Quantités (1000 T) % Valeur (MD) % Prix (DT/Kg) %
Huile d’olive 190,4 132,1 -30,6 1815,0 1114,6 -38,6% 9,53 8,44 -11,5
Produits de la
pêche
18,2 18,3 0,5 378,3 380,1 0,5% 20,79 20,77 -0,07
Dattes 100,5 87,0 -13,4 582,5 598,5 2,7% 5,80 6,88 18,7
Agrumes 13,6 16,0 17,6 21,1 26,4 25,1% 1,55 1,65 6,4
Tomates 20,5 18,0 -12,4 70,6 90,6 28,4% 3,44 5,05 46,5
Source : Calculs de l’ONAGRI d’après les données de l’INS.
Les prix à l’exportation ont observé une baisse de 11,5% pour l’huile d’olive par rapport à l’année
précédente. Par contre ceux des tomates et des dattes ont augmenté respectivement de 46,5% et de
18,7%.
Evolution mensuelle des exportations de l’huile d’olive au cours de 2019
Source : Calculs de l'ONAGRI d'après les données de l'INS.
32,4%
17,4%
11,0%
4,9%
5,8%
3,4%
2,1%
2,9%
2,6%
1,4%
0,8%
15,3%
Huile d'olive (H.O)
Dattes
Produits de la pêche
Sucres et sucrerie
Autres huiles et dérivés
Pates alimentaires
Lait, beurre, fromages, œufs et
miel
Préparation alimentaires
Tomates
Source : Calculs de l'ONAGRI d'après les données de l'INS.
0
2
4
6
8
10
12
14
16
18
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
16,116,6 16,2
15,7
12,1
11,3 11,2
12,3
8,3
12,3
Mois
Quantité (1000T)
0
20
40
60
80
100
120
140
160
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
145,5
143,1
156,1
134,4
108,2
89,9 89,1 88,1
68,0
92,2
Mois
Valeur (MD)
9,0
8,6
9,6
8,6
8,9
8,0 8,0
7,2
8,2
7,5
6
7
8
9
10
11
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Mois
Prix moyen (DT/Kg)
4. Page 4
Observatoire National de l’Agriculture Novembre 2019
IMPORTATIONS
Part des produits importés dans les importations alimentaires totales à fin octobre
2019
Evolution des principaux produits importés à fin octobre 2019 et 2018
2018 2019 2019/18 2018 2019 2019/18 2018 2019 2019/18
Produits Quantités (1000 T) % Valeur (MD) % Prix (DT/Kg) %
Blé dur 606,1 514,9 -15,0% 457,2 442,0 -3,3 0,75 0,86 13,8
Blé tendre 1073,7 1081,0 0,7% 599,1 734,8 22,7 0,56 0,68 21,8
Orge 502,6 462,1 -8,1% 289,6 322,8 11,5 0,58 0,70 21,2
Maïs 702,6 836,3 19,0% 350,4 469,2 33,9 0,50 0,56 12,5
Pomme de Terre 16,4 15,8 -3,7% 16,7 22,8 36,5 1,02 1,44 41,7
Viandes 4,4 5,6 27,3% 43,6 55,6 27,5 9,91 9,93 0,2
Lait et dérivés 21,1 23,0 9,0% 115,0 138,0 20,0 5,45 6,00 10,1
Huiles Végétales 202,9 211,9 4,4% 413,2 434,1 5,1 2,04 2,05 0,6
Sucre 569,6 441,2 -22,5% 479,9 419,9 -12,5 0,84 0,95 13,0
Tx de Soja 32,1 5,1 -84,1% 37,9 5,4 -85,8 1,18 1,06 -10,3
Source : Calculs de l’ONAGRI d'après les données de l’INS.
Les prix à l’importation des céréales ont connu une hausse (21,8% pour le blé tendre, 21,2%
pour l’orge et 13,8% pour le blé dur). Il en est de même pour le prix de la pomme de terre
(+41,7%), le prix du sucre (+13,0%) et le prix du lait et dérivés (+10,1). Alors que le prix des
huiles végétales et des viandes a légèrement augmenté respectivement de (+0,6%), (0,2%).
8,8%
9,2%
9,1%
15,4%
9,8%
6,7%
2,9%
0,5%
1,2%
36,5%
Sucre
Blé dur
Huiles Végétales (H.V)
Blé tendre
Maïs
Orge
Lait et dérivés
Pommes de terre (P.T)
Viandes
Autres
Source : Calculs de l'ONAGRI d'après les données de l'INS.