Un hombre visita una peluquería llena dos veces para preguntar cuánto tiempo tendrá que esperar para un corte de pelo. Cada vez que el peluquero le dice que tendrá que esperar varias horas, el hombre se va sin regresar. El peluquero envía a su aprendiz a seguir al hombre discretamente. El aprendiz regresa riendo y le dice al peluquero que el hombre fue directamente a su casa.
PHILIPPE TILLIET
Né le 18 Juillet 1955 à Bordeaux
- 1982 diplômé Architecte de l'école d’architecture de Bordeaux
- 1983 DESS « Enquête sociale approfondie »
Mention Urbanisme et programmation.
- 1984 Programmation de l’aménagement du bassin « les dagueys »
(LIBOURNE) pour le compte de la SBRU (projet actuellement réalisé)
Une URBANITE AFRICAINE ouverte à la MONDIALISATION
OUBLIONS que l'accès aux temps modernes nous a donné des frontières.
AFFIRMONS que l'épine dorsale de notre réussite est l’axe NORD SUD.
PROTEGEONS l'héritage que l’association de nos cultures nous a laissé.
ASSOCIONS l'ardeur universelle qui anime les hommes et les femmes dans les nouvelles perspectives que nous offre la « Mondialisation ».
Nous savons que l’AFRIQUE dans sa modernité, a besoin de nouveaux repères pour loger sa population jeune et grandissante.
Nous comprenons que l’AFRIQUE souhaite loger et mettre en valeur la diaspora constituée des ses Filles et Fils, revenant Forts de leur savoir faire acquis dans les autres pays du monde.
Comment bâtir l'avenir sans renforcer les fondations d'un aussi bel édifice ?
Les cultures AFRICAINES dans toutes leurs diversités sont bel et bien une langue vivante.
Nous avons choisi de pratiquer cette langue et de rendre quotidienne ce Langage de Modernité.
Notre travail sera à l'image de celui qui régulièrement après les grandes pluies
Re badigeonnait de « chaux » le mur de sa maison en terre.
Nous savons tous que sans lui, la bâtisse de terre construite, fond comme
La neige au soleil.
Que sans lui, son fils et sa fille n'auront pour mémoire que les terres ravinées de la plaine.
L’AFRIQUE a su bien avant les autres, vivre en accord avec son écosystème.
A quoi bon tenter un retour vers les énergies renouvelables, alors qu'il n'y a pas si longtemps, les villages étaient énergétiquement « autosuffisants ».
Notre profession de foi
FAISONS la synthèse entre TRADITION et MODERNITE,
REVITALISONS les racines du futur.
ATTACHONS nous à des bâtiments, des ouvrages publics ou privés qui ne
Demandent qu'à Vivre et survivre à travers une réactualisation de leurs fonctions.
PERPETUONS des ouvrages voués à la destruction, et à la disparition de notre
Mémoire collective.
PARTICIPONS à cet élan novateur qui souhaite donner à l’AFRIQUE les moyens de conserver les fondements et la pluralité, de ses cultures, et de son savoir faire.
OFFRONS lui le vocabulaire patrimonial qui la Propulsera au rang des grandes
Nations, dont le passé polyculturel est un atout majeur pour l'avenir.
PHILIPPE TILLIET
Né le 18 Juillet 1955 à Bordeaux
- 1982 diplômé Architecte de l'école d’architecture de Bordeaux
- 1983 DESS « Enquête sociale approfondie »
Mention Urbanisme et programmation.
- 1984 Programmation de l’aménagement du bassin « les dagueys »
(LIBOURNE) pour le compte de la SBRU (projet actuellement réalisé)
Une URBANITE AFRICAINE ouverte à la MONDIALISATION
OUBLIONS que l'accès aux temps modernes nous a donné des frontières.
AFFIRMONS que l'épine dorsale de notre réussite est l’axe NORD SUD.
PROTEGEONS l'héritage que l’association de nos cultures nous a laissé.
ASSOCIONS l'ardeur universelle qui anime les hommes et les femmes dans les nouvelles perspectives que nous offre la « Mondialisation ».
Nous savons que l’AFRIQUE dans sa modernité, a besoin de nouveaux repères pour loger sa population jeune et grandissante.
Nous comprenons que l’AFRIQUE souhaite loger et mettre en valeur la diaspora constituée des ses Filles et Fils, revenant Forts de leur savoir faire acquis dans les autres pays du monde.
Comment bâtir l'avenir sans renforcer les fondations d'un aussi bel édifice ?
Les cultures AFRICAINES dans toutes leurs diversités sont bel et bien une langue vivante.
Nous avons choisi de pratiquer cette langue et de rendre quotidienne ce Langage de Modernité.
Notre travail sera à l'image de celui qui régulièrement après les grandes pluies
Re badigeonnait de « chaux » le mur de sa maison en terre.
Nous savons tous que sans lui, la bâtisse de terre construite, fond comme
La neige au soleil.
Que sans lui, son fils et sa fille n'auront pour mémoire que les terres ravinées de la plaine.
L’AFRIQUE a su bien avant les autres, vivre en accord avec son écosystème.
A quoi bon tenter un retour vers les énergies renouvelables, alors qu'il n'y a pas si longtemps, les villages étaient énergétiquement « autosuffisants ».
Notre profession de foi
FAISONS la synthèse entre TRADITION et MODERNITE,
REVITALISONS les racines du futur.
ATTACHONS nous à des bâtiments, des ouvrages publics ou privés qui ne
Demandent qu'à Vivre et survivre à travers une réactualisation de leurs fonctions.
PERPETUONS des ouvrages voués à la destruction, et à la disparition de notre
Mémoire collective.
PARTICIPONS à cet élan novateur qui souhaite donner à l’AFRIQUE les moyens de conserver les fondements et la pluralité, de ses cultures, et de son savoir faire.
OFFRONS lui le vocabulaire patrimonial qui la Propulsera au rang des grandes
Nations, dont le passé polyculturel est un atout majeur pour l'avenir.
2. Un hombre mete su cabeza en una peluquería y pregunta: - ¡¡ Peluquero !!¿Cuánto tiempo le falta para que me pueda hacer un corte de pelo? El peluquero mira a su alrededor y, viendo la peluquería llena, le dice: Como dos horas. Y el hombre se va.
3. Unos días después el mismo hombre vuelve a la peluquería y, desde la puerta, le pregunta al peluquero: - ¿Cuánto tiempo le falta para que me pueda hacer un corte de pelo? El peluquero mira alrededor de la peluquería y dice: Tal y como tengo hoy el patio, como unas tres horas. El hombre se va.
4. El peluquero llama al aprendiz que estaba a punto de enjabonar la cabeza a un cliente y le dice: -Oye, Manolo, ven p'acá.. Mira, me sigues discretamente a ese señor que acaba de salir y ve a ver donde va. Lleva varias semanas que viene, pregunta en cuánto tiempo le puedo hacer un corte de pelo pero después nunca regresa. A la que veas donde ha ido, te vuelves cagando leches y me lo dices. Un rato después, Manolo vuelve a la peluquería, riéndose histéricamente. El peluquero le pregunta: - Manolo, ¿a dónde fue el hombre después de pasar por aquí? El aprendiz, con lágrimas en los ojos de tanto reírse, le dice: