6. 6
0
20
40
60
80
%
Côte d’Ivoire 93 Côte d’Ivoire 02 Côte d’Ivoire 08
Part des achats sur les marchés dans
les dépenses alimentaires des ménages
Part de la population non agricole
dans la population totale
Part de la population urbaine
dans la population totale
Source : CSAO/OCDE 2012
7. 7
% des exploitations
ha
9
14,5
33
66,5 millions d’hectares
Soit 38% des surfaces cultivées
10% des exploitations agricoles
Taille moyenne: 33 ha
57,8 millions d’hectares
Soit 33% des surfaces cultivées
72,5% des exploitations agricoles, Taille moyenne: 4ha
T m = 9 ha
5
0 10 27,5 50 100
Surfaces cultivées totales : 175 millions ha
Nombre des exploitations agricoles : 20 millions
Taille moyenne des exploitations agricoles : 9 ha
50,8 millions d’hectares
Soit 29% des surfaces cultivées
17,5% des exploitations agricoles
Taille moyenne: 14,5 ha
Totales des surfaces cultivées
Source : CSAO/OCDE 2012
L’impact des dynamiques de peuplement sur les mutations agraires : réflexions extraites du rapport 2013 du SSCAO/OCDE consacré aux Perspectives ouest-africaines en termes de peuplement, marché et sécurité alimentaire.
La population agricole c’est-à-dire productrice de biens alimentaires va décroitre au cours des 40 prochaines années. Dans un premier temps en termes de pourcentage de la population totale de 48% aujourd’hui à 22% en 2050. Puis en valeur absolue déclinant à partir des années 2020 et stagnant autour de 131 millions en 2050.Cette tendance est une manifestation de la transition urbain rural traversée par la plupart des autres régions du monde. Elle entraine des mutations des systèmes agricoles.Proposition d’animations:Commencer en 2010 jusqu’en 2050 avec PA, PNA et Population totale (histogrammes?). Puis focus sur 150,8 et 130,9
La population agricole c’est-à-dire productrice de biens alimentaires va décroitre au cours des 40 prochaines années. Dans un premier temps en termes de pourcentage de la population totale de 48% aujourd’hui à 22% en 2050. Puis en valeur absolue déclinant à partir des années 2020 et stagnant autour de 131 millions en 2050.Cette tendance est une manifestation de la transition urbain rural traversée par la plupart des autres régions du monde. Elle entraine des mutations des systèmes agricoles.Proposition d’animations:Commencer en 2010 jusqu’en 2050 avec PA, PNA et Population totale (histogrammes?). Puis focus sur 150,8 et 130,9
Si, au niveau régional et dans la plupart des pays côtiers, la population non agricole égalise ou dépasse désormais la population agricole; Au Burkina Faso, auTchad, au Mali, auNiger, cetinversement se fera vers 2030. Illustrantla diversification croissante des activités en milieu rural, la proportion des non agriculteurs y augmentera.Les évolutions sont et seront différentes dans l’espace et le temps en fonction de la connexion aux marchés, du niveaud’urbanisation et des conditions agro-écologiques.Cartes:Mettre 2010, 2030 pour inversement pays sahéliens. Mettre blanc pour inférieur à 1 puis de plus en plus foncé Faire venir les trois critères les uns après les autres c(onnexion aux marchés, du niveaud’urbanisation et des conditions agro-écologiques)
Une part croissante de la production est commercialisée pour répondre à la demande croissante de la population non agricole. Cette tendance est visible par l’augmentation de la part des achats sur le marché par les ménages. Les exploitations agricoles sont incitées à augmenter d’une part la productivité de la main-d’œuvre grâce à la mécanisation ou d’autre part en cas de contrainte foncière, à accroître les productions à l’hectare et les investissements dans les intrants agricoles.Ne prendre que la CIV. A-t-on des données pour montrer part croissante commercialisée puis à côté laisser la part de la population non agricole dans la population totale. Changer primaire en agricole.
Les évolutions des systèmes agricoles seront dominées par deux orientations ; la spécialisationdes petites et moyennes exploitations dans des productions orientées vers le marché avec une image à 2050 de 73% d’exploitations sur des surfaces moyennes de 4 hectares l’émergence de très grandes exploitations avec 10% d’exploitations sur des surfaces moyennes de 33 hectares
En termes de perspectives politiques, deux points semblent cruciaux:1. Les données sur les disponibilités et potentiel en terre révèlent d’importantes divergences. Le manque de précision des définitions entraîne une surestimation des terres potentiellement cultivables notamment dans les zones sahéliennes. Il y a donc un besoind’uneévaluation plus fine des terresrééllementdisponibles2. Second point, les transformations agricoles se feront à des rythmes, spatialement et temporellement, différents. Les politiques agricoles devraient donc décliner des dispositifs ciblés à ces différents profils. 3 minutes.