5. Indicateurs bibliométriques de base
5
• Nombre de publications: Nombre de publications
produites par une entité donnée
• Indice de spécialisation (IS): Indique l’intensité de la
recherche d’une entité (pays ou institution) dans un
champ de recherche donné par rapport à la
moyenne mondiale
• Indice de croissance (IC): Indique la croissance de la
production scientifique d’une période à l’autre. Les
périodes utilisées dans cette étude sont 2002-2007
et 2008-2013
6. Indicateurs d’impact
6
• Moyenne des facteurs d’impact relatifs (MFIR):
Indicateur de la qualité de la production scientifique
basé sur la capacité à publier dans les revues
scientifiques à haut impact
• Moyenne des citations relatives (MCR): Indicateur
de l’impact de la production scientifique basé sur la
capacité à produire des articles scientifiques
hautement cités
• % des articles dans les 10% ou 1% plus cités:
Pourcentage des articles parmi les plus cités
7. Indicateurs de coopération scientifique
7
• Coopération internationale: Articles comprenant des auteurs
d’au moins deux pays
• Coopération nationale: Articles comprenant au moins deux
institutions d’un même pays
• Coopération intra-sectorielle: Articles comprenant des
auteurs d’au moins deux institutions d’un même secteur
• Coopération intersectorielle: Articles comprenant des
auteurs d’au moins deux institutions provenant de secteurs
différents
• Prime de visibilité (PV): Indique l’impact scientifique des
articles écrits en coopération par rapport aux articles sans
coopération
9. 9
Contexte global, 1996-2013
• 26 M d’articles entre 1996 et 2013
• Présence dans les articles: OCDE ≈ 20M (76%),
EU28 ≈ 9M (35%), MOAN ≈ 850k (3%)
• OCDE et EU28 ont l’impact scientifique le plus élévé
0
500 000
1 000 000
1 500 000
2 000 000
2 500 000
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Nombred'articles
Année de publication
0,0
0,2
0,4
0,6
0,8
1,0
1,2
1,4
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
Moyennedescitationsrelatives(MCR)
Année de publication
MONDE
OCDE
EU28
MOAN
10. 10
Productivité – articles par 1000 habitants
•La différence avec
les pays européens
et les pays de
l’OCDE est
moindre lorsqu’on
relativise par la
taille de la
population
•La Tunisie produit
plus de trois fois
plus d’articles par
habitant que la
moyenne du
MOAN
MONDE 0.32 EU28 1.42 OCDE 1.20
Danemark 3.63 Suisse 4.69
MOAN 0.16 Suède 3.32 Islande 3.61
Finlande 2.99 Norvège 3.18
Israel 2.12 Pays-Bas 2.89 Australie 3.08
Malte 1.08 Slovénie 2.56 Luxembourg 2.71
Qatar 0.85 Belgique 2.50 Nouvelle-Zél. 2.64
Tunisie 0.51 Royaume-Uni 2.38 Canada 2.42
Iran 0.51 Irlande 2.35 Israël 2.12
Arabie Saoudite 0.47 Autriche 2.33 États-Unis 1.67
Koweït 0.42 Portugal 1.81 Rép. Corée 1.43
Liban 0.41 Estonie 1.79 Japon 0.96
Oman 0.38 Allemagne 1.73 Chili 0.48
Émir. Arabes U. 0.37 Rép. Tchèque 1.72 Turquie 0.47
Jordanie 0.35 France 1.63 Mexique 0.15
Bahreïn 0.28 Espagne 1.59
Égypte 0.16 Italie 1.43 SEL8
Algérie 0.12 Grèce 1.40 Portugal 1.81
Maroc 0.11 Croatie 1.33 Grèce 1.40
Palestine 0.11 Slovaquie 1.12 Malaisie 0.78
Libye 0.06 Hongrie 0.92 Tunisie 0.51
Iraq 0.05 Pologne 0.91 Afrique du Sud 0.29
Syrie 0.02 Lituanie 0.83 Égypte 0.16
Djibouti 0.02 Roumanie 0.65 Algérie 0.12
Yémen 0.01 Bulgarie 0.51 Maroc 0.11
11. 11
Tunisie vs. MOAN, 2002-2013
• La Tunisie est en croissance rapide
• Son impact et sa visibilité scientifiques sont toutefois sous la
moyenne mondiale et sous la moyenne de la région du MOAN
Tunisie MOAN Monde
Nb. Articles 39 492 727 932 20 555 883
Indice de croissance (IC) 2,4 2,3 1,5
Moyenne des citations relatives (MCR) 0,7 0,9 1,0
Moyenne des facteurs d'impact relatifs (MFIR) 0,8 1,0 1,0
12. 12
Comparaison vis-à-vis le MOAN, 1996-2013
• L’Iran et Israël sont les plus actifs, avec 240 000 articles chacun, suivis par
Égypte avec 105_000 articles et l’Arabie Saoudite avec 72 000 articles
• La Tunisie occupe le 5e rang avec 43 500 articles et le 6ième rang pour ce
qui est de sa croissance (IC = 2,4)
0
5 000
10 000
15 000
20 000
25 000
30 000
35 000
40 000
45 000
Nombred'articles
Année de publication
Iran
Israel
Arabie Saoudite
Égypte
Tunisie
Algérie
Maroc
Émirats Arabes Unis
Jordanie
Liban
Qatar
Iraq
Koweït
Oman
Syrie
Palestine
Malte
Libye
Bahreïn
Yémen
Djibouti
13. 13
Impact scientifique MOAN-10, 1996-2013
• Seul Israël a un impact scientifique au-dessus de la moyenne mondiale sur
l’ensemble de la période, mais l’Arabie saoudite franchit la barre en 2011
• L’impact scientifique de la Tunisie est l’un des plus bas parmi les dix pays
les plus actifs du MOAN
14. 14
Production scientifique – pays sélectionnés, 1996-2013
• Production se situant entre 30 000 (Algérie et Maroc) et
190_000 (Grèce) articles au total pour les pays sélectionnés
• Indice de croissance compris entre 2 pour le Maroc et 8 pour
la Malaisie
0
5 000
10 000
15 000
20 000
25 000
Nombred'articles
Année de publication
Production scientifique des 8 pays selectionnés
Malaisie
Portugal
Grèce
Afrique du Sud
Égypte
Tunisie
Algérie
Maroc
15. 15
Impact scientifique – pays sélectionnés, 1996-2013
• Le Portugal, la Grèce et l’Afrique du Sud ont un impact en
croissance et au dessus de la moyenne mondiale
• Quoiqu’en hausse, encore ici, l’impact scientifique de la
Tunisie est généralement en deçà de celle des comparables
0,0
0,2
0,4
0,6
0,8
1,0
1,2
1,4
Moyennedescitationsrelatives(MCR)
Année de publication
8 pays sélectionnés
Malaisie
Portugal
Grèce
Afrique du Sud
Égypte
Tunisie
Algérie
Maroc
Monde
16. 16
Coopération de la Tunisie, 2002-2013
• 69% des articles comprennent des auteurs
d’au moins deux institutions
• Coopération nationale = 37%, comparable aux
pays sélectionnés et aux pays de l’OCDE et de
l’EU28, et supérieur au pays du MOAN
• Coopération internationale = 43%, similaire au
pays sélectionnés et aux pays de l’OCDE et de
l’EU28, mais inférieur au pays du MOAN
18. 18
Coopération des pays du MOAN-10, 2002-2013
• La coopération au plan national de la Tunisie semble adéquate, en
comparaison des autres grands producteurs scientifiques du MOAN
• Par contre, comparée à celle de l’Arabie Saoudite, des Émirats
Arabes Unis, et du Liban, sa coopération internationale est quelque
peu faible
19. 19
Coopérations des pays sélectionnés, 2002-2013
• Vis-à-vis les sept pays sélectionnés, la Tunisie se trouve
au centre pour ce qui est de la coopération nationale,
internationale, et totale.
20. 20
Avec qui la Tunisie coopère-t-elle?
• Les principaux collaborateurs de la Tunisie sont la
France (11 000 articles en coopération), les États-
Unis (990), l’Espagne (965), le Canada (930) et
l’Italie (890).
• 1/3 des publications Tunisiennes sont produites
avec la France, ce qui représente 65% des
coopérations internationales de la Tunisie.
• La Tunisie collabore peu avec les autres pays du
MOAN, mais on note une augmentation marquée
de la coopération avec l’Arabie Saoudite et le
Qatar depuis 2010.
21. 21
Les avantages de la coopération internationale
• La Tunisie augmente considérablement son impact
lorsque la recherche s’effectue en coopération
internationale
• Cette augmentation est particulièrement marquée
lors des coopérations avec les pays de l’EU28 et
l’OCDE
• Toutefois, les coopérations avec la France demeurent
sous la moyenne mondiale en terme d’impact
22. 22
Les avantages de la coopération internationale
• En ce moment, les primes de visibilité (PV) les plus
élevées sont associées à des nombres de
coopérations relativement modestes (entre 50 et
100 publications), comme c’est le cas avec Israël,
Afrique du Sud, Suède, Danemark et République
Tchèque
• Les collaborateurs bien établis (plus de 500 co-
publications) et générant un fort impact sont le
Royaume-Uni, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, les
États-Unis, le Canada, l’Algérie, l’Espagne et le Maroc
25. 25
Analyse par champs d’activités, 2002-2013
• Près du tiers des articles scientifiques de la Tunisie sont
dans les sciences appliquées (13 000 articles)
• Un grand nombre d’articles sont publiés dans le génie et les
technologies des communications et de l’information (TIC)
• On observe une forte croissance (IC = 3) dans les disciplines
que sont les TIC, agriculture, pêcheries et foresterie, et les
technologies habilitantes et stratégiques
• Dans les TIC, les principales spécialités sont l’intelligence
artificielle et le traitement de l’image (2 100 articles) ainsi
que la réseautique et les télécommunications (1 700
articles)
26. 26
Analyse par champs d’activités, 2002-2013
• Les sciences naturelles représentent le quart de la
production scientifique de la Tunisie (10 000 articles)
• La Tunisie est active dans toutes les disciplines des
sciences naturelles (biologie, chimie, mathématique et
statistique, physique et astronomie et sciences
environnementales et de la terre)
• Les disciplines possédant le plus grand nombre
d’articles en sciences naturelles sont la biologie
végétale et botanique (1_300 articles), les
mathématiques générales (1 150) et la physique
appliquée (1 400)
27. 27
Analyse par champs d’activités, 2002-2013
• 2% (900 articles) de la recherche tunisienne porte
sur l’économie et les sciences sociales
• Par contre, le domaine est en forte croissance (IC =
4,15)
• La majorité des articles proviennent de la discipline
économie et sciences de la gestion
• Seulement 112 articles dans le domaine des arts et
humanités ont été produits durant cette période
• Le domaine croit à la même vitesse que la moyenne
du pays (IC de 2,4)
28. 28
Analyse par champs d’activités, 2002-2013
• Les sciences de la santé représentent 30% de la
production scientifique tunisienne (12 000 articles)
• Les Établissements publics de santé (EPS) produisent 2/3
des publications tunisiennes dans ce domaine
• La médecine clinique fournit la majorité des publications
• Les disciplines psychologie et sciences cognitives ainsi
que santé publique et soins de santé affichent une faible
production scientifique
• Plusieurs disciplines et spécialités des sciences de la
santé ont un taux de croissance inférieur à la moyenne
du pays
35. 35
Production scientifique par secteur, 2002-2013
• La majorité des publications sont produites par les universités,
et cette production connaît une très forte croissance
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
Nombred'articles
Année de publication
Tunisie
Universités
Centres de
recherche
EPS
Autres
28 323
5 066
8 123
1 245
72%
3%
13%
21%
36. Impact scientifique des secteurs, 2002-2013
36
0
0,2
0,4
0,6
0,8
1
1,2
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Moyennedescitationsrelatives
Année de publication
Tunisie
Universités
Centres de
recherche
EPS
Autres
Monde
37. 37
Institutions les plus actives par secteur, 2002-2013
Groupe / Pays nb. articles %part. IC évol.
MONDE 20 555 883 N/A 1,5
TUNISIE 39 492 100% 2,4
Universités 28 323 71,7% 2,9
Université de Carthage 5 860 14,8% 2,5
Université de Monastir 4 779 12,1% 2,4
Université de Sfax 7 187 18,2% 3,3
Université de Tunis El Manar 8 039 20,4% 2,7
Centres de recherche 5 066 12,8% 2,6
Centre de Biotechnologie de Borj Cedria 1 056 2,7% 1,4
Centre de Biotechnologie de Sfax 700 1,8% 3,1
Institut National des Sciences et Technologies de la Mer 434 1,1% 5,3
Institut Pasteur 671 1,7% 2,0
EPS 8 123 20,6% 1,7
Hôpital Charles Nicolle de Tunis 1 134 2,9% 1,5
Hôpital Farhat Hached de Sousse 1 165 2,9% 1,6
Hôpital Fattouma Bourguiba de Monastir 997 2,5% 1,9
Hôpital Habib Bourguiba de Sfax 1 063 2,7% 2,0
Hôpital La Rabta de Tunis 1 271 3,2% 1,6
38. 38
Institutions connaissant le plus de croissance, 2002-2013
Groupe / Pays nb. articles %part. IC évol.
MONDE 20 555 883 N/A 1,5
TUNISIE 39 492 100% 2,4
Universités 28 323 71,7% 2,9
Université de Gabès 998 2,5% 5,3
Université de Gafsa 210 0,5% 13,0
Université de Jendouba 233 0,6% 5,5
Université de Kairouan 67 0,2% 8,6
Université de Sousse 1 527 3,9% 4,0
Centres de recherche 5 066 12,8% 2,6
Centre de Recherche et des Technologies de l'Energie de Borj Cedria 315 0,8% 12,7
Centre de Recherche et des Technologies des Eaux de Borj Cedria 280 0,7% 8,3
Centre National de Recherche en Sciences des Matériaux 126 0,3% 125,0
Centre Régional des Recherches en Horticulture et Agriculture Biologique 24 0,1% 7,0
Institut des Régions Arides de Médenine 338 0,9% 4,5
Institut National de Recherche et d'Analyse Physico-Chimique 149 0,4% 4,5
Institut National des Sciences et Technologies de la Mer 434 1,1% 5,3
EPS 8 123 20,6% 1,7
Centre National de Transfusion Sanguine 81 0,2% 2,2
Hôpital Razi de Manouba 138 0,3% 3,1
Hôpital Tahar Sfar de Mahdia 163 0,4% 3,4
Institut Mohamed Kassab d’orthopédie de Tunis 118 0,3% 2,3
39. 39
Institutions à fort impact scientifique, 2002-2013
Groupe / Pays nb. articles IC MCR
MONDE 20 555 883 1,5 1,0
TUNISIE 39 492 2,4 0,7
Universités 28 323 2,9 0,7
Université de Gabès 998 5,3 0,9
Université de Gafsa 210 13,0 0,8
Université de Jendouba 233 5,5 0,8
Université de Sfax 7 187 3,3 0,8
Université de Tunis 2 151 3,1 0,8
Centres de recherche 5 066 2,6 0,9
Centre de Biotechnologie de Borj Cedria 1 056 1,4 1,0
Centre de Biotechnologie de Sfax 700 3,1 1,0
Centre de Recherche et des Technologies de l'Energie de Borj Cedria 315 12,7 0,9
Centre de Recherche et des Technologies des Eaux de Borj Cedria 280 8,3 1,1
Centre National de Recherche en Sciences des Matériaux 126 125,0 1,2
Institut National de Recherche et d'Analyse Physico-Chimique 149 4,5 0,9
EPS 8 123 1,7 0,4
Centre d'Assistance Médicale Urgente (CAMU) 39 1,1 0,5
Centre National De Greffe De Moelle Osseuse (CNGMO) 135 1,6 0,6
Hôpital Fattouma Bourguiba de Monastir 997 1,9 0,5
Institut National « El Mongi Ben Hamida » de Neurologie de Tunis 188 1,5 0,6
Institut National de la Santé Publique (INSP) 72 1,1 0,5
Institut Salah-Azaïz 352 1,0 0,6
40. 40
Spécialités des universités, 2002-2013
• Plusieurs universités tunisiennes affichent un impact
supérieur à la moyenne mondiale dans des domaines
ou des disciplines spécifiques
• Les universités qui obtiennent l’impact le plus élevé le
font en sciences appliquées; les universités de Gafsa,
de Gabès, Jendouba, Sfax et Monastir atteignent ou se
situent très près du niveau mondial dans ce domaine
• Les publications des universités en sciences de la santé
sont plus citées que la moyenne tunisienne et que la
moyenne des EPS
41. 41
Spécialités des universités, 2002-2013
• Université de Tunis El Manar : Agriculture; génie; physique et
astronomie; technologies habilitantes et stratégiques
• Université de Sfax : Agriculture; génie; sciences environnementales
et de la Terre; technologies habilitantes et stratégiques. MCR en
médecine clinique et en chimie supérieures à la moyenne
tunisienne, ainsi que la plus haute MCR en technologies des
communications et de l’information de la Tunisie (0,58), qui
demeure bien en dessous de la moyenne mondiale.
• Université de Carthage : Agriculture; génie; sciences
environnementales et de la Terre. MCR en médecine clinique
supérieure à la moyenne tunisienne.
42. 42
Spécialités des universités, 2002-2013
• Université de Monastir : Agriculture; mathématiques et
statistiques; recherche biomédicale; technologies habilitantes et
stratégiques. Obtient aussi une MCR supérieure à la moyenne
tunisienne en médecine clinique
• Université de Tunis : Génie; mathématiques et statistiques;
médecine clinique; sciences sociales; technologies habilitantes et
stratégiques. Obtient aussi une des plus hautes MCR en économie
et sciences de la gestion (0,53)
• Université de Sousse : Physique et astronomie; technologies
habilitantes et stratégiques
• Université de la Manouba : Médecine clinique; recherche
biomédicale
• Université de Gabès : Biologie; chimie; génie; physique et
astronomie
43. 43
Spécialités des centres de recherche, 2002-2013
• Centres de recherche: actifs dans tous les domaines,
représentent entre 5% (économie et sciences sociales) et 18%
(sciences naturelles) des articles dans chaque domaine
• Centre de Biotechnologie de Borj Cedria : Agriculture;
biologie; génie; sciences environnementales et de la terre;
technologies habilitantes et stratégiques
• Centre de Biotechnologie de Sfax : Agriculture; biologie;
génie; technologies habilitantes et stratégiques. Obtient aussi
une MCR supérieure à la moyenne tunisienne en sciences de
la santé
• Institut Pasteur : Obtient une MCR en sciences de la santé
(médecine clinique et recherche biomédicale) supérieure à la
moyenne tunisienne
44. 44
Spécialités des centres de recherche, 2002-2013
• Institut National de Recherche Agronomique :
Agriculture
• Centre de Recherche et des Technologies de l’Énergie de
Borj Cedria : Physique et astronomie; technologies
habilitantes et stratégiques
• Centre de Recherche et des Technologies des Eaux de
Borj Cedria : Génie; technologies habilitantes et
stratégiques.
• Institut National de Recherche en Génie Rural, Eaux et
Forêts : Agriculture
• Institut de l’Olivier : Agriculture
48. 48
Conclusions et suggestions
• La production scientifique de la Tunisie croit 60%
plus rapidement que celle du monde
• La production par capita de la Tunisie la place au
quatrième rang du MOAN
49. 49
Conclusions et suggestions
• Bien que l’impact scientifique de la recherche
tunisienne soit modeste, il est possible de palier la
situation en augmentant la coopération
internationale
• Il y a toutefois lieu de diversifier la coopération
internationale – la Tunisie a une trop grande part de
ses coopérations avec la France
• Il y a lieu d’identifier les pays avec lesquels la Tunisie
peut augmenter sa coopération de façon stratégique
50. 50
Conclusions et suggestions
• La production scientifique de la Tunisie présente une
importante pierre d’assise pour une stratégie
d’innovation:
le secteur des sciences appliquées y est
comparativement très développé
• Toutefois, présentement, ce qui peut freiner
l’innovation est la faible fréquence de la coopération
intersectorielle
• Plus spécifiquement, il semble qu’il faille pousser
davantage la collaboration entre les différents
secteurs de la recherche et l’industrie