L’AFMM a présenté le bilan des Solutions de paiement sur facture mobile 2013 ainsi que l’état des lieux réglementaire du marché ce matin à la Bourse du Commerce.
Une nouvelle dynamique a été présentée autour de nouveaux modèles de paiement permettant d’adresser de nouveaux usages jusqu’à présent non autorisés par la réglementation bancaire (biens matériels, ticketing, dons, packs de produits matériel/ numérique…) et qui se généraliseront probablement à terme sur l’ensemble des marchés du paiement sur facture.
Solutions de Paiement sur facture - Bilan 2013 et perspectives
1. TITRE
LIEU
@MyAFMM
#AFMM
Solutions de paiement sur facture
Bilan et perspectives
Bourse du commerce
Paris – 26 mars 2014
Solutions de paiement sur facture
Bilan et perspectives
Bourse du commerce
Paris – 26 mars 2014
3. Observatoires du paiement sur facture opérateurObservatoires du paiement sur facture opérateur
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Agenda Agenda
4. Observatoires du paiement sur facture opérateurObservatoires du paiement sur facture opérateur
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Agenda Agenda
10. Base : Ensemble des utilisateurs du paiement sur facture mobile (n=750)
90%
sont globalement
satisfait de ce moyen
de paiement
Satisfaction globale du paiement sur facture mobile
11. Base : Ensemble des utilisateurs du paiement sur facture mobile (n=750)
88%
Ont pris conscience du
caractère payant des
contenus ou des services
avant ou pendant l’achat
Conscience du caractère payant des contenus
présentés
12. Base : Ensemble des utilisateurs du paiement sur facture mobile insatisfaits (n=79)
Raisons de l’insatisfaction
10% des utilisateurs du paiement sur facture mobile sont insatisfaits
13. Base : Ensemble des utilisateurs du paiement sur facture mobile insatisfaits (n=79)
Réactions suite à l’insatisfaction
14. Base : Ensemble des utilisateurs du paiement sur facture mobile insatisfaits qui ont contacté leur opérateur mobile (n=36)
45% des utilisateurs du paiement sur facture mobile insatisfaits ont
contacté leur opérateur
Les chiffres en italique doivent être interprétés avec précaution en raison d’un faible effectif interrogé
Requêtes faites à l’opérateur
18. Observatoires du paiement sur facture opérateurObservatoires du paiement sur facture opérateur
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des évolutions
règlementaires en cours
Agenda Agenda
Justin Poncet, Directeur associé
19. La facture mobile : un moyen de
paiement
de plus en plus présent
dans le quotidien des Français
20. Périmètre de l’étude : interrogation d’internautes
utilisateurs principaux d’un téléphone mobile âgés de
15 ans ou plus.
Période d’enquête : Octobre 2013
Nombre d’interviews : 1027 répondants à l’étude
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
L’étude complète est disponible sur le site afmm.fr
21. Les Français achètent massivement en ligne,
notamment par CB ou portefeuille
électronique, mais le paiement sur facture se
révèle plus adapté, notamment pour les petits
montants et pour certains achats de la vie
quotidienne
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
Ce qu’il faut retenir…
23. L’achat en ligne, aujourd’hui totalement démocratisé
Les Français convertis massivement à l’achat sur internet
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
25. La CB est aujourd’hui le moyen de paiement dominant pour les achats en
ligne
La CB domine mais présente des limites
Mais elle n’est pas idéale pour tout le monde
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
20%
Ne souhaitent pas
communiquer leurs
coordonnées
bancaires sur Internet
81%
Ont déjà abandonné un
paiement en ligne avec une CB
du fait d’un problème de confiance
(68%), technique (58%) ou en raison de
la longueur du formulaire (36%)
61%
Refusent systématiquement
d’enregistrer leurs
coordonnées bancaires sur
les sites marchands
26. Un moyen de paiement peu adapté aux petits montants
1 sur 4
Hésite même à l’utiliser
pour des montants
inférieurs à 15€
La CB domine mais présente des limites
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
55%
Hésitent à l’utiliser pour
des montants inférieurs à
5€
27. Des limites que présentent également les
portefeuilles électroniques
28. 46 %
Des acheteurs 6DM
disposent d’un
portefeuille
électronique
Des limites que présentent également les portefeuilles
électroniques
.
58 %
Des non possesseurs de
portefeuille électronique n’en
ressentent pas le besoin
46%
Des non possesseurs de
portefeuille électronique craignent
le piratage du compte
Le paiement par portefeuille électronique se
généralise auprès d’une partie des acheteurs en ligne
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
30. Le Paiement sur facture mobile séduit pour les petits montants en ligne
6 sur 10
Sont prêts à l’utiliser
jusqu’à 10€
La facture mobile, un moyen de paiement complémentaire
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
70%
Sont prêts à l’utiliser
jusqu’à 5€
31. Et pour les achats de la vie quotidienne
46 %
N’ont jamais de
monnaie sur eux
26%
Trouvent la monnaie
obsolète
La facture mobile, un moyen de paiement complémentaire
Etude Perception des moyens de paiements - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
32. (1) Etude Satisfaction du paiement sur facture opérateur - AFMM & Médiamétrie - Octobre 2013
La facture mobile, un moyen de paiement complémentaire
33. Observatoires du paiement sur facture opérateurObservatoires du paiement sur facture opérateur
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Présentation de la synthèse de l’étude « Perception des moyens de
paiement »
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des
évolutions règlementaires en cours
Loi Hamon, DSP, arrêté facture, CNIL… : décryptage des
évolutions règlementaires en cours
Agenda Agenda
34. L’arrêté factureL’arrêté facture
AgendaDécryptage des évolutions règlementaires en cours
Anne Le Marchand
PJL ConsoPJL Conso Corinne Thiérache
Maxime Jaillet
CNILCNIL Maxime Jaillet
Services de paiementServices de paiement Bruno Joanides
Christophe Marre
DSP 2DSP 2 Renan Abgrall
Commission DéontologiqueCommission Déontologique Nicolas Guieysse
35. L’arrêté facture, pour une plus grande
transparence de l’utilisation des solutions de
paiement sur facture
Anne Le Marchand
Responsable Marketing SFR Pay
36. Agenda
L’arrêté facture
En quelques mots…
Texte pris sur la base de l’article L. 113-3 du code de la consommation
Précédent arrêté : 1 février 2002, relatif aux factures des services téléphoniques
Texte complet: http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=9C33FAA1B720753B502219EF950EB817.tpdjo14v_2?cidTexte=JORFTEXT000028429711&categorieLien=id
Texte rédigé dans le cadre des travaux du Conseil National de la Consommation
– organisme paritaire consultatif placé auprès du Ministre chargé de la
consommation
“ Lieu de confrontation et de concertation entre les représentants des intérêts collectifs
des consommateurs et usagers et les représentants des professionnels, des services publics
et des pouvoirs publics pour tout ce qui a trait à la consommation ”
Texte applicable à compter du 10 janvier 2014 avec dérogation
au 1er avril 2015 pour la majorité des articles
Arrêté du 31 décembre 2013 relatif aux factures des services de communications électroniques
et à l'information du consommateur sur la consommation au sein de son offre
Arrêté du 31 décembre 2013 relatif aux factures des services de communications électroniques
et à l'information du consommateur sur la consommation au sein de son offre
37. Agenda
L’arrêté facture
Les objectifs
-« étendre les obligations d’information applicables aux services de téléphonie aux
autres services (messages textuels et internet) ; »
-« définir un mode d’affichage des factures clair et cohérent avec les nouveaux usages,
en particulier concernant les services surtaxés ; »
-« mieux encadrer les canaux de diffusion des factures et des factures détaillées (papier
et dématérialisé) ; »
-« prévoir la création d’un espace en ligne personnalisé donnant des informations sur
l’offre et la consommation des différents services. »
Préciser la structure et le mode de communication des factures des services de
communications électroniques (appels, SMS, internet)
Préciser la structure et le mode de communication des factures des services de
communications électroniques (appels, SMS, internet)
38. Agenda
L’arrêté facture
Les bénéfices pour le micro-paiement
Création d’une section dédiée pour les services de tiers
Séparation des abonnements et des achats ponctuels
Information sur la procédure de résiliation, les partenaires et
la façon de les contacter
Regroupement des achats par partenaire / service
Regroupement des transactions par abonnement
Marque les différents
rôles de l’opérateur
Marque les différents
rôles de l’opérateur
Aide le client à
comprendre son
utilisation des
solutions de paiement
sur facture
Aide le client à
comprendre son
utilisation des
solutions de paiement
sur facture
Mise en place d’un relevé de sommes collectées pour le compte
de tiers via la création d’une section « Bellow the line »
Permet d’adresser les
nouveaux marchands
et nouveaux usages
Permet d’adresser les
nouveaux marchands
et nouveaux usages
39. Agenda
L’arrêté facture
Illustration de la facture
Services de l'opérateur €HT €TTC
Abonnements, forfaits et options du 11/06 au 10/07 XX XX
Abonnement 2H XX XX
Communications du 11/05 au 10/06 XX xx
H o rs fo rfaits
Envoi de SMS depuis l'Europe xx xx
C o mpris dans vo s fo rfaits
SMS illimités
Appels illimités tous opérateurs
Autres services et produits de l'opérateur du 11/05 au 10/06 xx xx
Musique xx xx
Services fournis par des tiers du 11/05 au 10/06 xx xx
Ab o nne me nts s o us c rits
Internet+ xx xx
SMS+ xx xx
S e rvic e s po nc tue ls
Internet+ xx xx
SMS+ xx xx
Appels vocaux xx xx
Retrouvez plus de détails sur vos achats et abonnements sur www.opérateur.fr/servicespay
Pour identifier le n°surtaxé contacté, rendez-vous sur www.sva.com /annuaireinverse
Sommes collectées pour le compte de tiers €
du 11/05 au 10/06
Ac h at de s e rvic e s
Stationnement xx
Don xx
Retrouvez plus de détails sur vos achats et abonnements sur www.opérateur.fr/servicespay
Les services de
l’opérateur
Les services facturés au nom et
pour le compte de tiers
Les sommes collectées pour le
compte de tiers
40. Agenda
L’arrêté facture
Illustration de la facture détaillée
Services fournis par des tiers Date et heure Euros
Abonnements souscrits
internet+
Service1 - Fournisseur1
Souscription 24/052014 à 03:25:02 xx
Renouvellement 31/05/2014 à 04:32:45 xx
Renouvellement 07/06/2014 à 03:54:26 xx
Services ponctuels
SMS+
8xxxx 10/06/2014 à 13:15:07 xx
Pour identifier le professionnel vous ayant fourni le service, rendez-vous sur :
www.operateur.fr/servicespay
41. PJLConso / Loi Hamon: les impacts sur le marché
français de l’édition de contenus et de services
premium
Corinne THIERACHE
Avocat Associée
Maxime JAILLET
Responsable Affaires
Réglementaires et Institutionnelles
Responsable du Pôle « Propriété Industrielle – Droit des Nouvelles
Technologies – Droit Pharmaceutique »
42. PJLConso / Loi Hamon
Où en est-on ?
2014
12-13 février Après une commission mixte paritaire ayant abouti à un texte commun,
adoption du projet de loi par le Sénat et l’Assemblée Nationale
13 mars Décision n°2014-690 DC du 13 mars 2014 : le Conseil constitutionnel déclare
conforme à la Constitution l’essentiel de la loi HAMON
17 février Saisine du Conseil Constitutionnel par plus de 60 députés et plus de 60
sénateurs
17 mars
Promulgation de la loi le 17 mars 2014
Entrée en vigueur échelonnée dans le temps (décrets d’application à venir,
…)
43. PJLConso / Loi Hamon:
les impacts sur le
marché français de
l’édition de contenus et
de services premium
Actions de groupe
Renforcement des moyens de
contrôle de la DGCCRF
Contrats à distance
Jeux avec promesse de
gain et loteries
Abonnements
44. Les actions de groupe
Périmètre
Offrir aux consommateurs une voie de recours collective en réparation de préjudices
économiques
Offrir aux consommateurs une voie de recours collective en réparation de préjudices
économiques
Nouveaux art. L.423-1 et suivants du Code de la Consommation
« Une association de défense des consommateurs représentative au niveau
national et agréée en application de l’article L. 411-1 peut agir devant une juridiction civile
afin d’obtenir la réparation des préjudices individuels subis par des consommateurs
placés dans une situation similaire ou identique et ayant pour cause commune un
manquement d’un ou des mêmes professionnels à leurs obligations légales ou
contractuelles :
1° À l’occasion de la vente de biens ou de la fourniture de services ;
2° Ou lorsque ces préjudices résultent de pratiques anticoncurrentielles au sens
du titre II du livre IV du code de commerce ou des articles 101 et 102 du traité sur le
fonctionnement de l’Union européenne.
L’action de groupe ne peut porter que sur la réparation des préjudices
patrimoniaux résultant des dommages matériels subis par les consommateurs ».
45. 3 phases d’une « action de groupe à la française »
Les actions de groupe
Fonctionnement
46. PJLConso / Loi Hamon:
les impacts sur le
marché français de
l’édition de contenus et
de services premium
Actions de groupe
Renforcement des moyens de
contrôle de la DGCCRF
Contrats à distance
Jeux avec promesse de
gain et loteries
Abonnements
47. Renforcement des pouvoirs d’enquête des agents de la DGCCRF par la création d’un
dispositif de "client mystère"
Les agents de la DGCCRF seront habilités à relever, lors de leurs contrôles relatifs à
la protection économique des consommateurs, les manquements aux
dispositions de la loi « Informatique et Libertés » et à les signaler à la CNIL pour
que celle-ci puisse prendre les sanctions appropriées (art.76).
Extension des pouvoirs des agents de la DGCCRF aux prestataires techniques
(hébergeurs et FAI) du commerce électronique
La DGCCRF, un acteur majeur dans la lutte contre les clauses abusives
Renforcement des pouvoirs de sanctions de la DGCCRF (amendes administratives)
Réserve d’interprétation du Conseil Constitutionnel concernant le cumul des amendes administratives et
des sanctions pénales
Renforcement des moyens de contrôle de la DGCCRF
Objectifs
Permettre aux agents de la répression des fraudes de disposer de nouvelles habilitations qui
renforceront l’effectivité du droit de la consommation
Permettre aux agents de la répression des fraudes de disposer de nouvelles habilitations qui
renforceront l’effectivité du droit de la consommation
48. PJLConso / Loi Hamon:
les impacts sur le
marché français de
l’édition de contenus et
de services premium
Actions de groupe
Renforcement des moyens de
contrôle de la DGCCRF
Contrats à distance
Jeux avec promesse de
gain et loteries
Abonnements
49. « Art. L. 121-19-2. – Le professionnel fournit au consommateur, sur support durable, dans un
délai raisonnable, après la conclusion du contrat et au plus tard au moment de la livraison
du bien ou avant le début de l’exécution du service […] »:
la confirmation du contrat comprenant toutes les informations précontractuelles (prix,
caractéristiques essentielles, modalités d’exécution du service, identités et
coordonnées, informations contractuelles…)
Les modalités de rétractation
Définition légale du support durable
Définition prétorienne : CJUE, 3ème ch., 5 juillet 2012
En pratique ?
Une obligation d’information renforcée: notion de support
durable
50. « Art. L. 121-16-1. – I. – Sont exclus du champ d’application de la présente section :
[…]
11° Les contrats conclus avec des opérateurs de télécommunications pour l’utilisation des
cabines téléphoniques publiques ou aux fins d’une connexion unique par téléphone,
internet ou télécopie, notamment les services et produits à valeur ajoutée
accessibles par voie téléphonique ou par message textuel. »
Une obligation d’information renforcée: exclusions
51. Nouveaux articles L.121-21-1 et suivants du Code de la consommation
Extension du délai de 7 à 14 jours pour exercer son droit de rétractation d’un
contrat conclu à distance, à la suite d’un démarchage téléphonique ou hors
établissement, sans avoir à motiver sa décision, ni à supporter d’autres coûts que
les coûts directs de renvoi et les coûts subséquents à la décision du consommateur
de bénéficier de la prestation de service avant la fin du délai de rétractation.
Différents points de départ…
Droit de rétractation : comment ça marche ?
52. conditions et délais du droit de rétractation
modalités d’exercice du droit de rétractation
formulaire type de rétractation
charge éventuelle des frais de renvoi du bien et leur coût si le bien ne peut pas
être renvoyé par la Poste
le cas échéant, le fait que le droit de rétractation n’est pas applicable ou les
conditions dans lesquelles le consommateur perd le droit à rétractation
Droit de rétractation : une obligation d’information
renforcée
Un grand nombre d’informations à communiquer au consommateur avant la conclusion
du contrat
Un grand nombre d’informations à communiquer au consommateur avant la conclusion
du contrat
53. Utilisation du formulaire de rétractation ou de tout autre déclaration
dénuée d’ambiguïté (nouvel art. L.121-21-2)
→ Si formulaire en ligne : communication sans délai d’un accusé de réception
de rétractation sur support durable
Charge de la preuve sur le consommateur
Quelles conséquences pour le consommateur et le professionnel ?
Droit de rétractation : Comment l’exercer ?
54. « Art. L. 121-21-8. – Le droit de rétractation ne peut être exercé pour les
contrats :
[…]
13° De fourniture d’un contenu numérique non fourni sur un support
matériel dont l’exécution a commencé après accord préalable exprès du
consommateur et renoncement exprès à son droit de rétractation »
Contrats à distance
Droit de rétractation : cas particuliers
55. Sanctions générales (prolongation du délai,…)
Sanctions administratives (nouvel art. L.121-22-1 du Code de la
consommation)
Contrats à distance
Droit de rétractation : sanctions
56. PJLConso / Loi Hamon:
les impacts sur le
marché français de
l’édition de contenus et
de services premium
Actions de groupe
Renforcement des moyens de
contrôle de la DGCCRF
Contrats à distance
Jeux avec promesse de
gain et loteries
Abonnements
57. Jeux concours avec promesse de gain et loteries
Une interdiction générale
Cette interdiction recouvre les jeux dont le fonctionnement repose sur le savoir-
faire du joueur.
Le sacrifice financier est établi dans les cas où l’organisateur exige une avance
financière de la part des participants, même si un remboursement ultérieur est
rendu possible par le règlement du jeu.
Le principe : Sont réputées loteries et interdites comme telles […]
toutes opérations offertes au public, sous quelque dénomination que ce soit, pour
faire naître l’espérance d’un gain qui serait dû, même partiellement, au hasard et
pour lesquelles un sacrifice financier est exigé par l’opérateur de la part des
participants.
Le principe : Sont réputées loteries et interdites comme telles […]
toutes opérations offertes au public, sous quelque dénomination que ce soit, pour
faire naître l’espérance d’un gain qui serait dû, même partiellement, au hasard et
pour lesquelles un sacrifice financier est exigé par l’opérateur de la part des
participants.
58. Jeux concours avec promesse de gain et loteries
Une interdiction générale
M. Bernard Cazeneuve, ministre délégué. Séance du 13 septembre 2013 - Sénat
“ Certains opérateurs ont cru pouvoir contourner la prohibition des jeux d’argent
et de hasard en prévoyant le remboursement des sommes engagées par les
joueurs sur leur demande.
Dans la réalité, rares sont les consommateurs qui sollicitent le remboursement
auquel ils ont théoriquement droit, ses modalités étant, le plus souvent, définies
au sein de conditions générales peu lisibles et dont la mise en œuvre peut se
révéler complexe, voire dissuasive.
Il est clair que le modèle économique de ces jeux repose sur le fait que les
consommateurs n’exercent pas les possibilités de remboursement. ”
59. Agenda
Jeux concours avec promesse de gain et loteries
Des exceptions
Dérogation concernant les chaînes de télévision, les chaînes radio et les publications de
presse
Dérogation concernant les chaînes de télévision, les chaînes radio et les publications de
presse
Sont concernés : les frais d’affranchissement et frais de communication ou de
connexion, surtaxés ou non, engagés pour la participation aux jeux et concours.
→ ces jeux sont organisés :
dans le cadre des programmes télévisés et radiodiffusés
dans les publications de presse
→ les participants doivent avoir la possibilité d’obtenir le remboursement des frais
engagés prévue par le règlement du jeu et information préalable.
→ ces jeux et concours ne peuvent constituer qu’un complément auxdits
programmes et publications.
→ les jeux TV/radio sont organisés dans des conditions définies par le CSA. Un
décret précisera les conditions pour les jeux organisés dans des publications de presse.
60. Agenda
Jeux concours avec promesse de gain et loteries
Des exceptions
Dérogation concernant les loteries publicitairesDérogation concernant les loteries publicitaires
Sont autorisés les frais d’affranchissement ainsi que les frais de
communication ou de connexion non surtaxés, qui peuvent être mis à la charge
des consommateurs, dès lors que la possibilité pour les participants d’en obtenir le
remboursement est prévue par le règlement de l’opération et que ceux-ci en sont
préalablement informés.
Lorsque la participation des consommateurs aux pratiques mentionnées au premier
alinéa du présent article est conditionnée à une obligation d’achat, ces pratiques
commerciales ne sont illicites que dans la mesure où elles revêtent un
caractère déloyal.
61. PJLConso / Loi Hamon:
les impacts sur le
marché français de
l’édition de contenus et
de services premium
Actions de groupe
Renforcement des moyens de
contrôle de la DGCCRF
Contrats à distance
Jeux avec promesse de
gain et loteries
Abonnements
62. Agenda
Suppression de l’abonnement
L’état de la menace
Sénat, 2è lecture, séance du 28 janvier 2014 :
Lorsque le contrat porte sur la fourniture périodique d'un
service, le professionnel doit, par tout moyen adapté, recueillir
l'accord du consommateur à chaque renouvellement de la
période.
Suppression en Commission Mixte Paritaire
63. Agenda
Suppression de l’abonnement
Que disent les élus ?
“Certains jeux en ligne proposent à leur public,
en général des adolescents, un abonnement
gratuit pendant une période donnée, le plus
souvent une semaine. Une fois que
l’abonnement a été souscrit, il est
automatiquement renouvelé chaque semaine”
“ Le phénomène touche aussi des adultes. Par
exemple, un prestataire propose un GPS gratuit
pendant une semaine. Le consommateur souscrit
à l’offre, mais, à la fin de la semaine d’essai, il ne
reçoit aucune demande de renouvellement de
l’abonnement. C’est le problème des contrats à
tacite reconduction”
la pratique des
abonnements avec
tacite reconduction
pose problème
Compte-rendu des débats : http://www.senat.fr/seances/s201401/s20140128/s20140128007.html
64. Agenda
“Les parents, dont la note téléphonique s’allonge,
mettent beaucoup de temps à découvrir le pot aux
roses”
“Il faut beaucoup de temps au propriétaire de la ligne
pour comprendre que l’augmentation de sa note n’a
rien à voir avec des appels téléphoniques”
“En pratique, on ne voit pas sur sa note de téléphone
qu’on est abonné à Candy Crush ou à un autre jeu en
ligne ; on constate simplement qu’une prestation est
facturée sans savoir à quoi elle correspond ”
“Si la grande majorité des gens sont vigilants, ce sont
les consommateurs les plus vulnérables – là encore !
– qui se font avoir par de telles pratiques”
La note téléphonique
s'allonge
Suppression de l’abonnement
Que disent les élus ?
Compte-rendu des débats : http://www.senat.fr/seances/s201401/s20140128/s20140128007.html
65. Agenda
Un manque
d'efficacité des
contrôles ?
“On peut toujours dire que tout va pour le
mieux dans le meilleur des mondes et que ces
procédés relèvent de pratiques abusives, mais
j’aimerais précisément savoir comment on les
combat”
“Vous savez à quel point il est difficile de faire
admettre à un opérateur téléphonique qu’on
n’a pas souscrit un tel abonnement, car il vous
demande auprès de qui, et on est incapable de
lui répondre”
“Je veux bien entendre que les textes actuels
permettent d’éviter de telles pratiques, mais,
dans la réalité, cela ne fonctionne pas ! ”
Suppression de l’abonnement
Que disent les élus ?
Compte-rendu des débats : http://www.senat.fr/seances/s201401/s20140128/s20140128007.html
66. Recommandation CNIL : le régime juridique des cookies
Maxime JAILLET
Responsable Affaires
Réglementaires et Institutionnelles
67. AgendaRecommandation CNIL : le régime juridique des cookies
Objet
Technologies visées :
-Cookies http et autres traceurs (ex : local shared objects de type cookies flash, pixel
invisible)
-identifications par calcul d'empreinte du terminal,
-identificateurs cachés.
Cookies nécessitant le recueil de l'accord préalable :
-les cookies liés aux opérations de publicité ciblée,
-les cookies de mesure d'audience,
-les cookies liés aux boutons de partage des réseaux sociaux…
…qu'ils soient déposés ou lus notamment lors de la consultation d’un site internet, de la
lecture d’un courrier électronique, de l’installation ou de l’utilisation d’un logiciel ou
d’une application mobile.
68. AgendaRecommandation CNIL : le régime juridique des cookies
Exemptions
Sont exemptés, certains cookies de mesure d'audience :
Exemption limitée à la mesure d’audience du contenu visualisé afin de permettre une
évaluation des contenus publiés et de l’ergonomie du site ou de l’application.
Sa portée doit être limitée à un seul éditeur et ne doit pas permettre le suivi de la
navigation de la personne utilisant différentes applications ou naviguant sur différents
sites internet.
La géolocalisation via l'adresse IP est limitée à la ville.
69. AgendaRecommandation CNIL : le régime juridique des cookies
Le process recommandé
Le process recommandé par la CNIL (à adapter au mobile) :
→ Affichage d'un bandeau informant l'internaute des finalités d'exploitation des
cookies ;
→ Renvoi à une rubrique dédiée pour en savoir plus et paramétrer ses cookies ;
→ La poursuite de la navigation emporte accord de l'utilisateur ;
→ Durée de vie des cookies : 13 mois non renouvelables.
Livre Blanc du GESTE sur les Cookies (fin mars 2014)
- Proposer un glossaire des termes en vigueur et expliquer le fonctionnement technique des cookies
- Encourager une démarche qualité ; identifier les bonnes pratiques concernant la gestion de cookies
70. Services de Paiement : exceptions, exemptions,
agréments – les différents modèles
Bruno JOANIDES
Directeur d’activité
71. Une expertise reconnue acquise au sein de la clientèle de banques et d’entreprises.
Développement du savoir-faire sur les :
Moyens de paiement – SEPA - Nouveaux Services de paiement
Conformité réglementaire : DSP, DME2, LCB-FT, CRBF 97-02
Canaux d’acquisition et restitution – web banking - SWIFTNet
Tenue de compte Client & Cash Management
Trade Finance – Credoc - LC
Dématérialisation à valeur probante – Flux – Contrats – Reporting
Monétique
Nos Métiers :
Conseil & stratégie
Assistance à Maitrise d’ouvrage
Assistance au pilotage projets
SYRTALS
Bruno JOANIDES
bjoanides@syrtals.com
+33 (0)6 08 73 78 16
Fondée en 1997, Syrtals concentre aujourd’hui une équipe de plus de
50 consultants spécialisés dans le cash management ainsi que les
services et moyens de paiements
72. Editeurs
Opérateur
Clients
Reversement des fonds
destinés aux éditeurs
Encaissement des règlements des clients
Fourniture du service
Services de paiement
Le cadre réglementaire
Intermédiaire
Toute activité de service de paiement est réglementée par le Code monétaire et financier et
nécessite par défaut un agrément de prestataire de service de paiement (PSP)
Toute activité de service de paiement est réglementée par le Code monétaire et financier et
nécessite par défaut un agrément de prestataire de service de paiement (PSP)
Un environnement réglementaire en constante évolution notamment avec :
La Directive sur les services de paiement « DSP » transposée en 2009
Suivie par la 2ème directive sur la monnaie électronique « DME2 » transposée 2013
73. L’encaissement pour compte de tiers résultant de la fourniture de biens et services
numériques bénéficie d’une exemption d’agrément de PSP « Exception TELCO » (Art.
L. 311-4 CMF) lorsque :
Le service est exécuté via un appareil de télécommunication ou d'un autre
dispositif numérique ou informatique
L'opérateur n'agit pas en seule qualité d'intermédiaire
Services de paiement
L’exception TELCO
Néanmoins Le projet de DSP 2 (Art. 3 I) prévoit de modifier cette « exception »
En revanche, lorsque le contenu porte sur un bien matériel ou « semi-matériel » ,
l’exception Telco n’est plus applicable
74. Services de paiement
L’exemption biens ou services limités ou réseau limité
Exemption possible au titre du réseau limité ou de l’éventail limité de
biens ou de services (Art. L.521-3 et L. 525-5 du CMF)
Procédure allégée pour l’obtention de l’exemption qui reste soumis à l’autorisation
préalable de l’ACPR
Mais :
•Le critère « limité » du réseau et de l’éventail de biens et de services est interprété
strictement par l’ACPR et apprécié au cas par cas ;
•Une seule exemption peut être obtenue par personne morale
•Pour le ME , la capacité maximal de chargement du support est limité à 250 euros
•Protection de fonds détenus est requise
•Pas de « passporting » possible
Par contre :
•Il n’y a pas d’assujettissement à la réglementation LCB-FT, Contrôle Interne
•Le rapport annuel justifiant notamment que les conditions de l’exemption sont toujours
bien remplies est simplifié
75. Etablissement de Paiement (EP)
Services de paiement
Les agréments de plein régime
Etablissement de Monnaie
Electronique (EME)
Exigences de fonds propres
Protection de fonds détenus
Conformité au CRBF 97-02 (PCA, LCB-FT, Contrôle Interne…)
Capital minimum : 125 K€ Capital minimum : 350 K€
Agrément délivré par l’ACPR
Procédure d’au moins 6 mois
Passeport Européen
76. Services de paiement sur facture opérateur
Solutions alternatives: les agréments allégés
Agrément EME « allégé »
Durée avant agrément : 4 à 5 mois
Passporting EU : Non
Moyenne de la Monnaie électronique
< 5 Millions € par mois
Protection des fonds
Capital social minimum de 40 K€
Pas de transmission de fonds
Somme des paiements < 3 Millions € par mois
Agrément EP « allégé »
Durée avant agrément : 4 à 5 mois
Passporting EU : Non
Une nouveauté impulsée par le crowfunding
Loi d’habilitation du 02/01/2014 visant à permettre le Gouvernement
à prendre par ordonnances diverses mesures de simplification et de
sécurisation de la vie des entreprises
Protection des fonds
Capital social minimum de 100 K€
Pas fourniture de service de paiement
77. Services de paiement
Les statuts d’agent ou de distributeur
Agent d’EP
Durée avant enregistrement : 1 mois
• Nécessité d’être mandaté par un EP
agréé, qui sera responsable auprès
des autorités de régulation
• Intégration des procédures et
politiques de l’EP mandant (contrôle
interne, LCB-FT, gestion des risques,
sécurité SI )
• Acceptation d’être audité
périodiquement par le mandant
Distributeur de Monnaie Electronique
Pas d’enregistrement auprès de l’ACPR
Les agréments d’EP ou d’EME permettent de recourir à des agents (Art. L-523-1
CMF) et/ou distributeurs de monnaie électronique (Art. L. 525-8 CMF)
• Nécessité d’être mandaté par un
EME agréé, qui sera responsable
auprès des autorités de régulation
pour réaliser :
• La mise en circulation, y compris
le rechargement de la ME ;
• Le remboursement de la ME
• Intégration des procédures et
politiques de l’EME mandant
(contrôle interne, LCB-FT, gestion des
risques, sécurité SI )
• Acceptation d’être audité
périodiquement par le mandant
78. Il est interdit à toute personne autre que les Prestataires de Services de Paiement (EP,
EME, EC) de fournir des services de paiement à titre de profession habituelle (Art.
L.521-2 du CMF) sous peine de sanctions pénales.
Il faut en conséquence :
•S’interroger sur la qualification de son activité au regard de la loi lorsqu’on détient des
fonds pour le compte de tiers
•Parmi la palette de possibilités, savoir choisir le statut approprié en fonction de son
activité et de son projet de développement :
• EME ou EP ?
• Allégé ou Exempté ?
• Agent ou Distributeur ?
Services de paiement
La réglementation en résumé
79. Services de Paiement : un cas concret de mise en
œuvre de distribution de monnaie électronique sur
facture opérateur
Christophe MARRE
Directeur des Kiosques
80. AgendaServices de paiement: le cas SELECTA
Gare de Lyon
107 machines
Pilote de 6 mois
Lancement : XX/XX
Paiement par SMS
dans les distributeurs Selecta
Gare de Lyon
107 machines
Pilote de 6 mois
Lancement : avril 2014
Valider l’intérêt d’un moyen de paiement s’appuyant sur la facture opérateur au travers d’un cas
d’usage en rupture avec nos modèles actuels
Valider l’intérêt d’un moyen de paiement s’appuyant sur la facture opérateur au travers d’un cas
d’usage en rupture avec nos modèles actuels
81. Services de paiement: le cas SELECTA
Parcours client
Valider la conformité et la pertinence des parcours clients de paiement sur facture en mode
distribution de monnaie électronique
Valider la conformité et la pertinence des parcours clients de paiement sur facture en mode
distribution de monnaie électronique
Phase
« Simple opt-in »
Phase
« Double opt-in »
82. AgendaServices de paiement: le cas SELECTA
Monnaie électronique : les acteurs et les responsabilités
Valider le rôle et les responsabilités des différents acteurs dans la chaîne de distribution de
monnaie électronique
Valider le rôle et les responsabilités des différents acteurs dans la chaîne de distribution de
monnaie électronique
• Distribue la monnaie électronique
• Reporte le montant de la transaction
sur la facture de son abonné/client
final
Opérateur
Telecom
• Emet et gère la monnaie électronique
• Effectue un certain nombre d’opérations de
gestion financière
• Reverse au marchand
Emetteur
Monnaie
Electronique
• Assure l’intégration des parcours
clients commande/ livraison pour le
marchand
Agrégateur
• Propose la solution de paiement
mobile par SMS de l’EME
Marchand
83. AgendaMonnaie électronique : les marchés adressables
Bundle contenu
numérique / matériel
Biens matériels :
vending machine
Services
dématérialisés:
ticketing, timbres…
Services et contenus
numériques
Installer le paiement sur facture comme un moyen de paiement à part entière, conforme à la
réglementation bancaire, libéré des contraintes de l’exception telco
Installer le paiement sur facture comme un moyen de paiement à part entière, conforme à la
réglementation bancaire, libéré des contraintes de l’exception telco
84. Révision de la directive européenne Services de
Paiement (DSP2) : les textes, enjeux et calendrier
Renan ABGRALL
Responsable Paiement &
Nouveaux Revenus
85. La Directive des Services De Paiement
Un marché qui évolue, un besoin d’harmonisation
2009
2013
2014
2007 Adoption de la DSP 1 (Conseil Européen):
Le but: Création d’un marché unique Européen des Services de Paiement
Transposition pour application dans les différents pays Européens
Proposition de la Commission
européenne pour une révision de la
Directive sur les services de
paiements (DSP2)
-Modernisation : intégrer les nouveaux
services e-commerce (prélèvements)
-Protection client : réguler les taux
d’inter-change et lutte anti fraude
-Compétition équitable : révision des
exceptions
Proposition de la Commission
européenne pour une révision de la
Directive sur les services de
paiements (DSP2)
-Modernisation : intégrer les nouveaux
services e-commerce (prélèvements)
-Protection client : réguler les taux
d’inter-change et lutte anti fraude
-Compétition équitable : révision des
exceptions
Transposition de la DSP2 et application au niveau des pays Européens sous 2 ans
2016
2012
Appel à contribution au Livre Vert
Proposition de révision de la DSP adoptée
par la Commission Européenne
Amendements et soumission de la DSP2
au Conseil de l’Union Européenne pour
vote
Consultations
86. La Directive des Services De Paiement
Les exceptions marché de la DSP1
L’exception telcoL’exception telco
Les « réseaux limités »Les « réseaux limités »
Les activités caritativesLes activités caritatives
Marché Français du
paiement sur facture
(contenus numériques)
Marché Français du
paiement sur facture
(contenus numériques)
Marché du stationnement
(l’ACPR)
Marché du stationnement
(l’ACPR)
Non ouvert au don sur facture ?Non ouvert au don sur facture ?
Textes Applications
En 2007, certains marchés ont été exclus du champ d’application de la DSP1
87. La Directive des Services De Paiement
Les évolutions de l’exception Telco
Projet initial de révision
SuppressionSuppression
Pourquoi ?
Protection du consommateur
Inégalité d’application au sein
des pays EU
La facture mobile est utilisée
comme moyen de paiement
pour autres services ou biens
numériques que ceux
proposés par l’opérateur.
Proposition présentée à la
commission EU
MaintienMaintien
Mise en place de paliers à 50€
par acte et 200€ par mois
Proposition approuvée et
présentée au vote au Conseil
UE
Mise en place de paliers à 20€
par acte et 100€ par mois
Amendements de
suppression déposés par
des députés Français
Des amendements
pourront encore être
proposés par les
membres du Conseil UE
MaintienMaintien
Objectifs avant vote du Conseil UE
-Maintenir l’exception TELCO
-Augmenter les paliers à 50€ par acte
et 200€ par mois
-Inclure le ticketing dans l’exception
88. La Directive des Services De Paiement
Les dons par SMS dans la DSP2
Bénéficient de cette exception :
« les opérations de paiement
consistant en la collecte et la
remise en espèces à titre non
professionnel, dans le cadre
d’une activité à but non lucratif
ou caritative »
Bénéficient de cette exception :
« les opérations de paiement
consistant en la collecte et la
remise en espèces à titre non
professionnel, dans le cadre
d’une activité à but non lucratif
ou caritative »
Bénéficient de cette exception :
«aux opérations de paiement
consistant en la collecte non
lucrative et le traitement de
donations dans le cadre d'une
activité caritative menée par
une organisation autorisée »
Bénéficient de cette exception :
«aux opérations de paiement
consistant en la collecte non
lucrative et le traitement de
donations dans le cadre d'une
activité caritative menée par
une organisation autorisée »
DSP 1 Projet DSP 2
Objectifs moyen terme
-Que cette exception
s’étende aux dons
numériques
Objectifs court terme
Poursuivre les actions auprès du gouvernement et des autorités
concernées pour sécuriser un lancement du don sur facture mobile
multi-opérateur mi-2014
89. L’autorégulation, un modèle à pérenniser : les
travaux de la commission déontologique
Nicolas GUIEYSSE
Délégué Général
90. AgendaBilan 2013 de la commission déontologique
2012 2013
Décisions / arbitrages 18 16
Notifications de manquement 176 243
Editeurs concernés 35 39
Services ayant fait l’objet
d’une mise en demeure
69 31
Services ayant fait l’objet
d’une suspension
37 36
5 commissions
3 rencontres avec les éditeurs
1 rencontre avec les associations de consommateur
PV disponibles sur le site afmm.fr
91. AgendaBilan 2013 de la commission déontologique
— Audit « gestion de l’incompatibilité des terminaux »
— Recommandations sur la promotion et l’accès à des services appartenant à la catégorie
-16
— Evolution des chartes déontologiques, de communication et de conception SMS+,
Internet+ mobile et box
Refonte des éléments tarifaires pour Internet+
— Développement d’un extranet éditeur et d’un moteur de recherche utilisateur
permettant d’accéder au service client d’un service payé via Internet+
— Publication du premier baromètre de satisfaction des utilisateurs SMS+ et Internet+
mobile
92. Agenda2013 – 2014: l’accent mis sur les outils d’accompagnement
des utilisateurs