3. La célèbre Fête des Jonquilles est
née en 1935
Ce sont les adhérents de
l’Amicale motocycliste
gérômoise qui ont eu l’idée de
décorer leurs motos au retour
d’une promenade, en 1934…
Quelques-uns d’entre eux ont
alors décidé de renouveler
l’expérience… mais, cette fois,
d’une manière tout à fait
officielle.
C’est ainsi qu’est née la première
Fête des Jonquilles, le 22 avril
1935.
C’était aussi la naissance d’une
tradition… laquelle a franchi le
cap de l’an 2000 en très bonne
santé.
19361939
L’enthousiasme des premières années d’après-guerre…
Photo André VOIRIN
« Bouddha » sous l’arc de triomphe de Kichompré – 15 avril 1951
(Dans les années 1950, un arc de triomphe était édifié à chaque
entrée de la ville) Photo André VOIRINSaut-des-Cuves années 50
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7. Le corso fleuri se compose de plusieurs dizaines de
chars et de nombreux groupes musicaux et folkloriques.
La carcasse métallique des chars est recouverte d’un
grillage à mailles fines (un centimètre).
Il faut plus de 10 millions de fleurs, car il y a aussi à
garnir les décorations fixes.
En moyenne, on utilise 3 000 à 4 000 fleurs par mètre
carré.
Un char moyen exige de 150 000 à 250 000 jonquilles.
8. Plus de 1 500 écoliers de la
vallée effectuent la cueillette
pendant plus de deux jours.
La population participe au
piquage des fleurs, dans la
bonne humeur, le samedi et
toute la nuit qui précèdent la
fête.
En 1953, le problème de la
survie de cette manifestation
s’est posé pour des raisons
financières… La solution fut la
création d’un circuit fermé,
avec entrée payante dans
l’enceinte réservée.
Dessin de Jean GROSSIER
Quelques
réalisations
de la famille
DOUISSARD
(rue Charles de
Gaulle)