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Folie Culture et Ethnopsychiatrie - Le risque de l’exotisme à deux sousRéseau Pro Santé
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
L’ethnopsychiatrie, selon celui qui est considéré par tous comme son chef de file, se détache de la psychiatrie transculturelle, qui « permet au psychiatre de continuer à pratiquer le même métier auprès de populations culturellement hétérogènes, de parvenir, par exemple, à un diagnostic de schizophrénie ou de dépression, même dans un monde où le mot – et peut-être jusqu’à la chose – n’existe pas. » 1
Professeur de psychologie, désigné ethno-psychiatre, Tobie Nathan affirme sur son blog que la schizophrénie n’existe pas dans le « monde » africain. Laissant une limite floue entre « monde des esprits » et « monde des humains », son discours laisse entendre que la schizophrénie serait une invention de l’Homme blanc importée en Afrique avec la colonisation.
Invité quasi systématique des émissions de radios qui traitent du sujet de la Folie en Afrique, et multipliant les interviews auprès des magazines de vulgarisation psychologique, il assène auprès du grand public l’idée qu’ « un Africain, un Malais, un Indien, un Européen seront malades différemment », et que « les peuples traditionnels ont leur propre psychopathologie ».
Le cerveau des hommes d’origine africaine fonctionnerait- il donc différemment de celui des hommes d’origine caucasienne ? Cette idée absurde est toutefois maintes et maintes fois reprises dans le discours de l’expert autoproclamé des maladies mentales en Afrique.
Selon sa vision dualiste, le psychisme, composé « des esprits, des démons, ou encore des dieux », pourrait être détaché du biologique, vulgairement réduit à « des virus et bactéries, ou des gènes »…
La Folie se traiterait donc en Afrique grâce aux thérapeutes traditionnels, ayant pour fonction « d’éloigner du patient ces êtres maléfiques en les dupant ».
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Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°12" juin 2015
Nous avons évoqué lors du dernier numéro les objets connectés « wearable », les inévitables « insidables » à venir, et quelques-unes de leurs applications au sein de la « m-santé » (ou « santé mobile »). Attention au vertige : aussi important que peut représenter l’avenir - et le marché - de tous ces e-bidules, il ne représente qu’une toute petite branche de la télémédecine, terme d'ailleurs souvent utilisé sans en maîtriser toutes les implications.
La télémédecine, qu’est-ce que c’est ?
Dans l’article 78 de la loi HPST du 21 juillet 2009 [1], la télémédecine a été définie comme « une forme de pratique médicale à distance utilisant des technologies de l’information et de la communication ». C'est donc la mise en relation via un réseau de télécommunications, soit du patient avec un ou plusieurs professionnels de santé dont au moins un médecin, soit des professionnels de santé entre eux, dont encore une fois au moins un médecin*.
Ça sert à quoi ?
L'évolution de notre société entraîne logiquement la nécessité de réadapter régulièrement l'organisation de notre système de santé. Les possibilités désormais ouvertes par la télémedecine arrivent à point nommé pour répondre aux deux grands défis actuels liés à la démographie médicale :
•• L’accès aux soins pour les patients isolés : que la raison soit géographique (zones rurales, montagneuses, insulaires…), ou liée à des difficultés de transport du patient au cabinet médical, voire du médecin au domicile.
•• La baisse prévisible du nombre de médecins par habitant et l'augmentation du nombre de patients souffrant de maladies chroniques et/ ou de poly-pathologies liées au vieillissement de la population.
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Revue "FNSIP - L'observance Hors-série n°16" juin 2014
Il faut tout d’abord faire la différence entre conflit et lien d’intérêt. Le conflit d’intérêt existe donc lorsque le jugement, les décisions ou les interventions d’un professionnel sur un sujet d’intérêt principal risquent d’être modifiés par un intérêt secondaire. Il s’agit de la rémunération des prestations par ou pour un laboratoire. Le conflit remet en cause l’impartialité et l’indépendance du professionnel de Santé. Les internes sont donc très peu concernés par les conflits d’intérêts mais établissent des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique par la prise en charge lors de congrès, le financement d’un travail de recherche…
Depuis la création de la loi « Bertrand » ou « sunshine act » en 2011, la transparence dans le monde médicale est régie par deux grandes lois : la loi anti-cadeau (DMOS) et cette loi « Bertrand ». La loi anti-cadeau ne concerne que les produits de santé et ne touche que les professions médicales. Alors que ce « sunshine act » inclut 9 acteurs : les professionnels de santé, les associations de professionnels de santé, les étudiants et leurs associations, les associations d’usagers et de patients, les établissements de santé, les fondations et sociétés savantes, la presse et les sites médicaux en ligne, les personnes morales assurant la formation (faculté) et enfin les éditeurs de logiciels. Elle concerne aussi tous les acteurs produisant ou commercialisant les produits mentionnés au II de l’article L.5311-1 du CSP, c’est-à-dire entrant dans le champ de compétence de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Cette loi « Bertrand » introduit la déclaration obligatoire de tout avantage en nature ou en espèce supérieur à 10€ TTC.
Il y a deux grands types de déclaration ;
• la DPI (Déclaration Publique d’Intérêt)
• la publication des conventions et avantages.
La seconde peut concerner tous les professionnels médicaux durant leur exercice à contrario de la première qui n’est demandée que pour les personnes occupant un temps donné une fonction publique au sein d’une agence ou institution par exemple (HAS, INCA, INVS, INPES, CPP) ou bien au sein d’une structure gouvernementale (cabinet de ministre, conseillers). Cette déclaration comprend tous les liens et conflits d’intérêts des 5 dernières années. Ceux-ci peuvent être directs ou indirects, en effet si votre famille travaille dans l’industrie pharmaceutique cela peut influencer votre pouvoir de décision. La présence d’un conflit d’intérêt peut amener à ne pas prendre part aux travaux concernant un produit de santé.
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Breve introducción al entorno de trabajo del programa de manipulación de imágenes GIMP, al uso de sus herramientas básicas y trabajo con capas para elaborar montajes.
1. Pràctica Nº1 * Impresiòn de pantalla * Inserciòn de hipervìnculos *Glosario Alcázar Cruz S. Araceli
2. Impresiòn de pantalla 1.- Estando en el escritorio, presionar la tecla Imp pant Pet Sis 2.- Abrir todos los programas, dirigirse a accesorios, localizar el programa “Paint” y abrirlo. 3.- En el menú de herramientas del programa de Paint, que se localiza del lado izquierdo de la pantalla, presionar el botón de selección; posterior a esto, sobre la pantalla en blanco presionar los comandos de pegado: Ctrl + V
3. 4.- La imagen del tapiz del escritorio aparecerá en el hoja en blanco de Paint, de la cual deberá ser seleccionada una pequeña parte, con la cual se desee trabajar. 5.- Luego de seleccionar la parte deseada, ésta deberá cortarse utilizando los comandos: Ctrl + C 6.- Abrir un nuevo documento de Paint desde archivo; denegar la opción de guardar el documento anterior y utilizar sobre la hoja en blanco los comandos de pegado. 7.- Sobre la hoja en blanco aparecerá la porción de la imagen seleccionada en la pantalla anterior. Adecuar el tamaño del mapa de bits al tamaño de la imagen a manera de evitar excedentes de hoja en blanco.
4. 8.- Dirigirse a “Archivo” y seleccionar la opción: “Guardar còmo…” 9.- Al abrirse la ventana de destinos de almacenaje de archivos, seleccionar “Escritorio” y dirigirse a la parte baja de la ventana; localizar la categoría “Tipo de archivo”, en ella habrá de localizarse el tipo de archivo JPEG; seleccionarlo y presionar el botón: Guardar 10.- Repetir el paso 9 hasta la selección del tipo de archivo, el cual deberá ser cambiado por el tipo GIF. 11.- Repetir el paso 9 hasta la selección del tipo de archivo, el cual deberá ser cambiado por el tipo BITMAP NOTA: cada uno de los archivos deberá tener un nombre diferente; de otro modo el archivo no podrá ser guardado.
5. 12.- Cerrar el programa Paint y dirigirse al escritorio; con el mouse, arrastrar los tres iconos pertenecientes a los archivos de imagen y alinearlos a la mitad de la pantalla. 13.- Repetir los pasos 1, 2, 3 y 4, con la diferencia de que esta vez la parte seleccionada de la imagen sean los tres iconos que se encuentran en el centro de la imagen. 14.- Repetir pasos 5 al 9. 15.- Por medio de un mail, enviar estos archivos como documentos adjuntos a la dirección de correo electrónico de la Profesora Patricia Romero, como prueba de la realización de ésta práctica.
6. Inserciòn de Hipervìnculos 1.- Abrir el correo electrónico e iniciar un nuevo mensaje. 2.- En el cuerpo de mensaje escribir una frase o palabra cualquiera, por ejemplo: UNAM; una vez escrita la palabra, habrá que seleccionarla y presionar el botón “Insertar Hipervínculo” que se encuentra del lado derecho en la barra de herramientas del mensaje. 3.- Al presionar dicho botón, aparecerá una pequeña ventana con el siguiente formato: Dirección: http:// Aceptar Cancelar
7. 4.- En el espacio correspondiente a la URL, hará de escribirse la dirección del destino deseado: Dirección: http:// www.unam.mx/ Aceptar Cancelar 5.- Al presionar el botón de Aceptar, la palabra escrita en el cuerpo del mensaje, es decir, el enlace, cambiara de color, esto es señal de que el Hipervínculo ha sido agregado exitosamente. 6.- Enviar dicho mensaje a la profesora Patricia Romero para que verifique que el Hipervínculo funciona de manera adecuada.
8. Glosario URL : las siglas URL en inglés quieren decir "Uniform Resource Locator," y se refiere al texto que identifica a una página web. Normalmente empieza por "http:/...". HIPERVINCULO: un hiperenlace es un URL publicado dentro de una página web. Los hipervínculos o enlaces normalmente aparecen en azul y si se les pincha le llevan al usuario a otra página. JPG: Diminutivo de JPEG (Joint Photographic Experts Group) , técnica de compresión de imágenes que casi no afecta la calidad y reduce el peso en bytes de las imágenes hasta 5%.
9. Bitmap: (o mapa de bits). Un tipo de imágenes para ordenador, en las que se almacena información sobre los puntos que las componen y el color de cada punto (al contrario que en las imágenes vectoriales). Esto supone que al ampliar la imagen se pierde definición, se ven "puntos gordos". GIF: (Graphics Interface Format) , formato de imagen desarrollado por Compuserve, permite compresión pero solo soporta 256 colores, lo que la hace útil sólo para imágenes de colores planos
10. BIT: (Binary Digit), Unidad mínima de información digital. Se utilizan cadenas de BITS para almacenar información. Un solo BIT no tiene información lógica utilizable, por ejemplo un solo carácter (una letra o símbolo) utiliza 8 BITS. BYTE: cadena de 8 BITS, un carácter. Kilobyte (KB): 1024 Bytes. Megabyte (MB): 1024 Kilobytes. Gigabyte (GB): 1024 Megabytes. Terabyte (TB): 1024 Gigabytes