La Web 2.0 representa la evolución de las aplicaciones tradicionales a aplicaciones web enfocadas en el usuario final que fomentan la colaboración a través de servicios en línea. Surge de la transición de aplicaciones de escritorio a aplicaciones basadas en la web con funcionalidades mejoradas. No es una tecnología en sí, sino una actitud de desarrollo centrada en el usuario que utiliza tecnologías como Ajax, redes sociales y APIs.
La Web 2.0 es la representación de la evolución de las aplicaciones tradicionales hacia aplicaciones web enfocadas al usuario final. El Web 2.0 es una actitud y no precisamente una tecnología.
Présentation sur les avantages/désavantages de se lancer sur les sites d'achat en groupe. Dans le cadre de notre maîtrise en communication-marketing de l'U. de Sherbrooke. Par Jean-Christophe Bilodeau et Gabrielle Garand
La Web 2.0 es la representación de la evolución de las aplicaciones tradicionales hacia aplicaciones web enfocadas al usuario final. El Web 2.0 es una actitud y no precisamente una tecnología.
Présentation sur les avantages/désavantages de se lancer sur les sites d'achat en groupe. Dans le cadre de notre maîtrise en communication-marketing de l'U. de Sherbrooke. Par Jean-Christophe Bilodeau et Gabrielle Garand
FCE, le 19 Octobre 2015 _ Pour une réforme du droit de lentreprise en diffic...OUADA Yazid
Le Forum des Chefs d’Entreprise a organisé, le 19 octobre 2015 en son siège, un atelier de réflexion sous le thème : «État des lieux et propositions de réformes du droit des affaires en Algérie».
Cette rencontre, animée par des spécialistes et universitaires en droit et des chefs d’entreprises, a été un espace d’échanges et de débat dans l’objectif d’enrichir une étude que réalise le FCE portant : « La refonte du Droit des affaires pour l’amélioration du climat des affaires en Algérie». Celle-ci traitera de trois grands chapitres : la refonte du code de commerce, le droit de l’entreprise en difficulté et le contrat de franchise.
A la lumière des premiers résultats de cette réflexion, il y a lieu de retenir, globalement, que l’évolution de l’économie nationale nécessite plus que jamais une refonte du code de commerce. Dans la forme, le texte en vigueur souffre, d’une écriture médiocre et d’une traduction dans la langue arabe très défectueuse, mettant à mal les magistrats qui se retrouvent en face de deux textes à contenus c variable.
Dans le fond, il est relevé que le code représente d’importantes incohérences. L’on cite à ce sujet la typologie des contrats commerciaux qui doit être enrichie pour être en phase avec ce qui se pratique à travers le monde. De même que les mécanismes de sauvetage de l’entreprise en difficultés sont absents et doivent selon les experts, être impérativement introduits dans le système juridique algérien afin de sauvegarder le tissu des PME qui connaissent un taux de mortalité relativement élevé. Selon les estimations de l’ONS et du CNRC datant de 2013, ce dernier est estimé à 7% alors que le taux de création est de 4%.
Dans le sillage de la réflexion sur les nouvelles perspectives, nous avons pu identifier 4 grandes tendances majeures pouvant illustrer la notion d’eco design : le design sensé, découlant de l’émergence des nouvelles préoccupations ; le design économique, ou la tendance à vouloir faire mieux avec moins ; le design positif, qui prône une gestion des cycles optimale ; et enfin le design de système, porteur de solutions globales.
La définition initiale du design est celle d’un concept alliant une intention à sa réalisation matérielle. Cette conception première a progressivement laissé place à une discipline qui a délaissé le fond pour ne s’intéresser qu’à la forme, s’inscrivant dans une logique marketing et industrielle, oubliant la théorie du design comme intention première, comme alliance de l’idée et de sa représentation.
En cela, les enjeux actuels liés aux problématiques environnementales et sociétales ont permis la renaissance d’un design approprié, au service du développement humain. Le designer apparaît donc comme un des acteurs majeurs de la mutation en cours, comme un artisan au service du progrès, porteur de solutions globales. D’où une nécessaire extension du domaine du design, ce dernier se préoccupant désormais non plus seulement de conceptions matérielles mais surtout de la fourniture de services centrés sur l’expérience utilisateur, intégrés en une logique systémique dans des « scénarios de vie » à la mesure de l’homme.
L'effacement de l’objet des préoccupations centrales de la démarche eco design laisse donc place à une vision qui privilégie la dimension systémique des affaires humaines.
Appréhender les choses selon cette nouvelle pensée systémique, c’est abandonner la conception traditionnelle par trop linéaire qui fût longtemps l’unique modèle valable de compréhension du monde et œuvrer pour la valorisation des cycles, qu’ils soient naturels, industriels ou humains. L’entreprise, tout d’abord, se doit d’intégrer les différents cycles qui la composent en un cycle global dont l’ambition est de générer non plus du profit mais du développement humain. Du côté de l’industrie, un nouveau modèle émerge dont la vision cyclique tend à faire disparaître les impacts négatifs sur l’écosystème naturel. Se dirige-t-on vers un modèle économique générateur d’externalités positives ?
Enfin, le design de solutions globales nous amène à nous questionner sur l’émergence d’écosystèmes intégrés, au niveau de l’activité économique d’un part, concernant les relations entre collaborateurs dans le milieu professionnel, mais aussi concernant de nouvelles façons de vivre ensembles au sein d’une société viable et durable. Ces nouveaux modes de vie signifient au niveau local une revalorisation des territoires par la mise en place de projets de développement durable et approprié. Au final, il est aujourd’hui urgent de penser l’écosystème global, favorisant la diversité et l’enrichissement réciproque des sphères économique, écologique et sociale en un équilibre indispensable à la préservation et au développement approprié de la vie sous toutes ses formes.
Aussi, ce rapport d'innovation a pour tâche d’explorer les développements en cours, les pistes à suivre, les innovations qui nous indiquent les voies du progrès, qui bouleversent notre époque, tant dans le domaine de la création que dans celui de l’entreprise, de l’économie, et au niveau de la société dans son ensemble.
Un rapport issu du cercle d'innovation Courts-Circuits, à l'initiative de Pourquoi tu cours (l'agence des idées), encadré par les planneurs stratégiques Jérémy Dumont et Nicolas Marronnier.
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Le support de ma conférence à Paris Web 2013 autour du design, du graphisme, de l'esthétisme et de la notion toute relative de beauté. Attention, cette présentation peut comporter de la philosophie.
CONSOMMATION 2.0
IMPACT DES NOUVEAUX MEDIAS SUR LES USAGES
Introduction et animation des tables rondes par Jérémy dumont directeur de pourquoitucours, agence de planning stratégique 2. 0
TABLE RONDE DE 10h : IMPACT SUR LES COMPORTEMENTS
L'IMPACT DES NOUVEAUX MEDIAS SUR LES USAGES ET LES IMAGINAIRES DE CONSOMMATION.
Combien de temps faut il utiliser internet et un mobile par jour pour que ca modifie le comportement des usagers et implique de nouvelles attentes de consommation ? D'autant plus que les médias traditionnels sont aussi maintenant digitalisés. Même si les moins de 35 ans forment cette nouvelle génération digitale dont on nous parle, c'est nos imaginaires de consommation qui se globalement trouvent affectés par les nouveaux médias.Quelles nouvelles tendances émergeantes du coté des consommateurs ?
- Thomas Jamet, Directeur du Planning Stratégique et de l'Expertise Media reload-vivaki France
- Benoit Corbin, Président Mobile Marketing Association , France
- Fabrice Epelboin, Editor & Publisher, ReadWriteWeb , France
- Torsten Alhers CEO de wunderloo p media services, Monde
- Alexandre Pasche, eco&co , publicitaires eco socio innovants, France
Pour accéder au site de PARIS 2.0 de septembre 2009 : http://www.amiando.com/strategies20aparis.htm
1. ¿Qué es la Web 2.0?<br />La Web 2.0 es la representación de la evolución de las aplicaciones tradicionales hacia aplicaciones web enfocadas al usuario final. El Web 2.0 es una actitud y no precisamente una tecnología.<br />La Web 2.0 es la transición que se ha dado de aplicaciones tradicionales hacia aplicaciones que funcionan a través del web enfocadas al usuario final. Se trata de aplicaciones que generen colaboración y de servicios que reemplacen las aplicaciones de escritorio.<br />Es una etapa que ha definido nuevos proyectos en Internet y está preocupándose por brindar mejores soluciones para el usuario final. Muchos aseguran que hemos reinventado lo que era el Internet, otros hablan de burbujas e inversiones, pero la realidad es que la evolución natural del medio realmente ha propuesto cosas más interesantes como lo analizamos diariamente en las notas de Actualidad. Y es que cuando el web inició, nos encontrábamos en un entorno estático, con páginas en HTML que sufrían pocas actualizaciones y no tenían interacción con el usuario.<br />Pero para entender de donde viene el término de Web 2.0 tenemos que remontarnos al momento en que Dale Dougherty de O’Reilly Media utilizó este término en una conferencia en la que compartió una lluvia de ideas junto a Craig Cline de MediaLive. En dicho evento se hablaba del renacimiento y evolución de la web.<br />Constantemente estaban surgiendo nuevas aplicaciones y sitios con sorprendentes funcionalidades. Y así se dio la pauta para la Web 2.0 conference que arranca en el 2004 y hoy en día se realiza anualmente en San Francisco, con eventos adicionales utilizando la marca en otros países.<br />En la charla inicial del Web Conference se habló de los principios que tenían las aplicaciones Web 2.0:<br />La web es la plataforma<br />La información es lo que mueve al Internet<br />Efectos de la red movidos por una arquitectura de participación.<br />La innovación surge de características distribuidas por desarrolladores independientes.<br />El fin del círculo de adopción de software pues tenemos servicios en beta perpetuo<br />La Web 2.0 con ejemplos<br />Entender la evolución que ha llegado con la Web 2.0 puede realizarse con ejemplos, con proyectos. Podemos comparar servicios web que marcan claramente la evolución hacia el Web 2.0 con una nueva forma de hacer las cosas:<br />Web 1.0 > Web 2.0<br />Doubleclick –> Google AdSense (Servicios Publicidad)<br />Ofoto –> Flickr (Comunidades fotográficas)<br />Akamai –> BitTorrent (Distribución de contenidos)<br />mp3.com –> Napster (Descargas de música)<br />Britannica Online –> Wikipedia (Enciclopedias)<br />Sitios personales –> Blogs (Páginas personales)<br />Especulación con dominios –> Optimización en motores de búsqueda SEO<br />Páginas vistas –> Costo por click<br />CMSs –> Wikis (Administradores de contenidos)<br />Categorías/Directorios –> Tags<br />¿Qué tecnologías apoyan a la Web 2.0?<br />El Web 2.0 no significa precisamente que existe una receta para que todas nuestras aplicaciones web entren en este esquema. Sin embargo, existen varias tecnologías que están utilizándose actualmente y que deberíamos de examinar con más cuidado en busca de seguir evolucionando junto al web.<br />Tecnologías que dan vida a un proyecto Web 2.0:<br />Transformar software de escritorio hacia la plataforma del web.<br />Respeto a los estándares como el XHTML.<br />Separación de contenido del diseño con uso de hojas de estilo.<br />Sindicación de contenidos.<br />Ajax (javascript ascincrónico y xml).<br />Uso de Flash, Flex o Lazlo.<br />Uso de Ruby on Rails para programar páginas dinámicas.<br />Utilización de redes sociales al manejar usuarios y comunidades.<br />Dar control total a los usuarios en el manejo de su información.<br />Proveer APis o XML para que las aplicaciones puedan ser manipuladas por otros.<br />Facilitar el posicionamiento con URL sencillos.<br />¿En qué nos sirve la Web 2.0?<br />El uso del término de Web 2.0 está de moda, dándole mucho peso a una tendencia que ha estado presente desde hace algún tiempo. En Internet las especulaciones han sido causantes de grandes burbujas tecnológicas y han hecho fracasar a muchos proyectos.<br />Además, nuestros proyectos tienen que renovarse y evolucionar. El Web 2.0 no es precisamente una tecnología, sino es la actitud con la que debemos trabajar para desarrollar en Internet. Tal vez allí está la reflexión más importante del Web 2.0.Yo ya estoy trabajando en renovar y mejorar algunos proyectos, no por que busque etiquetarlos con nuevas versiones, sino porque creo firmemente que la única constante debe ser el cambio, y en Internet, el cambio debe de estar presente más frecuentemente.<br />