El documento describe cómo las tecnologías de la información (TI) pueden adoptar un enfoque centrado en el usuario y apoyar la mejora continua a través de Lean. Propone un modelo que representa los procesos mediante la visualización de las comunicaciones entre actores y su comportamiento, permitiendo identificar desperdicios y mejoras. Las TI deben acercarse al usuario y no al revés, hablando un mismo lenguaje basado en sujetos, contextos y mensajes.
L’amplitude de la recherche d’informations potentiellement réalisable par les scientifiques s’est considérablement étendue ces dernières années et nous faisons ici l’hypothèse que les formes en voie de diversification de la publication scientifique ne tarderont pas à influencer ses critères d’évaluation.
A la disposition des chercheurs s’est imposée une panoplie de logiciels visant la gestion de références et leur mise en commun, d’enregistrements de pages web « à lire plus tard » sur différents supports (tablettes, smartphones, etc.), mais aussi de gestion de citations, de collections, d’édition de métadonnées, de prise de notes, d’ajouts de commentaires, etc.
La publication scientifique elle-même se connecte à ses sources et à ses jeux de données et aux corpus de documents apportant les preuves du travail.
Aux bases de données d’articles et aux serveurs d’archivage de résultats s’ajoute l’univers des données massives servant aux projets de recherches.
Cette offre fonctionnelle contribue à modifier la qualité et la quantité de la lecture assujettie aux formes des publications (ex : recontextualisation par des liens hypertextes des contenus des articles) mais aussi à leur évaluation. Les mesures de retentissement des articles dans le web dit social sont-elles à même d’influencer l’évaluation des équipes et des individus par les autorités plus traditionnelles ?
Organisation professionnelle indépendante créée en 2006, *designers interactifs* représente 540 professionnels travaillant dans le champ du design interactif en France et à l’international.
L’association joue un rôle dans la représentation et la défense des intérêts de la profession auprès des instances publiques. Elle a pour objectif de faire connaître et de valoriser les apports du design interactif à tous les secteurs d’activités, notamment dans l’économie numérique, et plus largement dans la société. Elle veille également à améliorer la visibilité et la lisibilité de la profession auprès des entreprises.
Pour cela, *designers interactifs* met en œuvre, principale- ment à Paris et à Lyon, des initiatives de terrain et un ensemble de publications pratiques. L’association organise chaque mois des rencontres professionnelles qui offrent à ses membres des opportunités de réseautage et de réflexion sur les questions de design interactif.
L’amplitude de la recherche d’informations potentiellement réalisable par les scientifiques s’est considérablement étendue ces dernières années et nous faisons ici l’hypothèse que les formes en voie de diversification de la publication scientifique ne tarderont pas à influencer ses critères d’évaluation.
A la disposition des chercheurs s’est imposée une panoplie de logiciels visant la gestion de références et leur mise en commun, d’enregistrements de pages web « à lire plus tard » sur différents supports (tablettes, smartphones, etc.), mais aussi de gestion de citations, de collections, d’édition de métadonnées, de prise de notes, d’ajouts de commentaires, etc.
La publication scientifique elle-même se connecte à ses sources et à ses jeux de données et aux corpus de documents apportant les preuves du travail.
Aux bases de données d’articles et aux serveurs d’archivage de résultats s’ajoute l’univers des données massives servant aux projets de recherches.
Cette offre fonctionnelle contribue à modifier la qualité et la quantité de la lecture assujettie aux formes des publications (ex : recontextualisation par des liens hypertextes des contenus des articles) mais aussi à leur évaluation. Les mesures de retentissement des articles dans le web dit social sont-elles à même d’influencer l’évaluation des équipes et des individus par les autorités plus traditionnelles ?
Organisation professionnelle indépendante créée en 2006, *designers interactifs* représente 540 professionnels travaillant dans le champ du design interactif en France et à l’international.
L’association joue un rôle dans la représentation et la défense des intérêts de la profession auprès des instances publiques. Elle a pour objectif de faire connaître et de valoriser les apports du design interactif à tous les secteurs d’activités, notamment dans l’économie numérique, et plus largement dans la société. Elle veille également à améliorer la visibilité et la lisibilité de la profession auprès des entreprises.
Pour cela, *designers interactifs* met en œuvre, principale- ment à Paris et à Lyon, des initiatives de terrain et un ensemble de publications pratiques. L’association organise chaque mois des rencontres professionnelles qui offrent à ses membres des opportunités de réseautage et de réflexion sur les questions de design interactif.
Le Salon de la Copropriété 2015 publie une enquête*, menée en partenariat avec l’Association Consommation Logement et Cadre de Vie (CLCV) autour de la vie en copropriété. Comment est‐elle vécue et perçue au quotidien par les copropriétaires ?
www.saloncopropriete.com
Kältemittel R-407F
Seit Juli 2012 verkehren im Raum Zürich und Lausanne die ersten LKW mit Elektroantrieb. Sie sind ausgerüstet mit einer leistungsfähigen und umweltfreundlichen Kälteanlage. Diese arbeitet mit dem Kältemittel R-407F.
Die Erfahrungen bis heute sind durchwegs positiv.
Premier état de la contamination des logements français en composés organique...Monimmeuble.com
L’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) nous livre un premier état de la contamination des logements français en composés organiques semi-volatils : pesticides, phtalates, retardateurs de flamme, etc.
www.oqai.fr
Alarcon Nicolas, Responsable du secteur documentaire, Assessment librarian, OA Evangelist at Université de La Réunion
1. Service commun de la documentation Le WIKI Outil du travail collaboratif Sessions informatiques
2. - Wiki signifie « rapide » en hawaïen. - « Un wiki est un système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages Web librement et également modifiables par tous les visiteurs autorisés. » Définition Wikipedia . - Les wikis font parties des outils du web 2.0. Qu'est-ce qu'un wiki ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
3. - La variété des usages des wikis contribuent à leur promotion et à leur succès. - Ils sont utiles dés qu'un travail est collaboratif. - Quelques exemples de wikis: wiki pour enseignement, wikiromans, Wiki pour la gestion de projets, etc. A quoi sert un wiki ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
4. - 2 méthodes pour créer ses propres wikis : - La ferme à wikis - Le logiciel de création de wikis Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
5. La ferme à wikis : - Une société héberge vos wikis gratuitement (contre de la publicité) ou en s'acquittant d'un abonnement (sans publicité et avec des services à valeur ajoutée). - Avantages : simple d'utilisation, support technique personnalisé, mises à jour automatiques. - Inconvénients : publicité, dépendance vis-à-vis du prestataire. Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
6. Le logiciel de création de wikis ou WikiMoteur : - Le système gérant vos wikis est installé sur votre serveur. - Avantages : logiciels le plus souvent libres et gratuits, une totale indépendance et gratuité, le support de nombreuses communautés, un paramétrage complet selon les besoins. - Inconvénients : totale responsabilité de vos wikis, investissement en temps et en énergie, minimum de connaissances techniques à acquérir. Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
7. Wikipedia et consorts : - Wikipedia ( www.wikipedia.org ) est une encyclopédie « libre, universelle et multilingue ». Elle est créée de manière collaborative et contient 5 millions d'articles en 250 langues. - Wikipedia intégre les projets de la fondation WikiMedia : Wiktionnaire (215 000 articles en français), WikiBooks (reproduction d'ouvrages tombés dans le domaine public), etc. Quelques exemples de wikis (1/3) Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
8. WikiPolDoc : - WikiPoldoc a été créé par le groupe PolDoc, animé par Bertrand Calenge et hébergé par l'ENSSIB. - Il s'adresse à toutes celles et ceux qui ont à « acquérir, suivre et gérer des collections et des ressources documentaires ». - L'objectif du wiki est de mutualiser
Le Salon de la Copropriété 2015 publie une enquête*, menée en partenariat avec l’Association Consommation Logement et Cadre de Vie (CLCV) autour de la vie en copropriété. Comment est‐elle vécue et perçue au quotidien par les copropriétaires ?
www.saloncopropriete.com
Kältemittel R-407F
Seit Juli 2012 verkehren im Raum Zürich und Lausanne die ersten LKW mit Elektroantrieb. Sie sind ausgerüstet mit einer leistungsfähigen und umweltfreundlichen Kälteanlage. Diese arbeitet mit dem Kältemittel R-407F.
Die Erfahrungen bis heute sind durchwegs positiv.
Premier état de la contamination des logements français en composés organique...Monimmeuble.com
L’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) nous livre un premier état de la contamination des logements français en composés organiques semi-volatils : pesticides, phtalates, retardateurs de flamme, etc.
www.oqai.fr
Alarcon Nicolas, Responsable du secteur documentaire, Assessment librarian, OA Evangelist at Université de La Réunion
1. Service commun de la documentation Le WIKI Outil du travail collaboratif Sessions informatiques
2. - Wiki signifie « rapide » en hawaïen. - « Un wiki est un système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages Web librement et également modifiables par tous les visiteurs autorisés. » Définition Wikipedia . - Les wikis font parties des outils du web 2.0. Qu'est-ce qu'un wiki ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
3. - La variété des usages des wikis contribuent à leur promotion et à leur succès. - Ils sont utiles dés qu'un travail est collaboratif. - Quelques exemples de wikis: wiki pour enseignement, wikiromans, Wiki pour la gestion de projets, etc. A quoi sert un wiki ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
4. - 2 méthodes pour créer ses propres wikis : - La ferme à wikis - Le logiciel de création de wikis Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
5. La ferme à wikis : - Une société héberge vos wikis gratuitement (contre de la publicité) ou en s'acquittant d'un abonnement (sans publicité et avec des services à valeur ajoutée). - Avantages : simple d'utilisation, support technique personnalisé, mises à jour automatiques. - Inconvénients : publicité, dépendance vis-à-vis du prestataire. Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
6. Le logiciel de création de wikis ou WikiMoteur : - Le système gérant vos wikis est installé sur votre serveur. - Avantages : logiciels le plus souvent libres et gratuits, une totale indépendance et gratuité, le support de nombreuses communautés, un paramétrage complet selon les besoins. - Inconvénients : totale responsabilité de vos wikis, investissement en temps et en énergie, minimum de connaissances techniques à acquérir. Comment fonctionnent les wikis ? Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
7. Wikipedia et consorts : - Wikipedia ( www.wikipedia.org ) est une encyclopédie « libre, universelle et multilingue ». Elle est créée de manière collaborative et contient 5 millions d'articles en 250 langues. - Wikipedia intégre les projets de la fondation WikiMedia : Wiktionnaire (215 000 articles en français), WikiBooks (reproduction d'ouvrages tombés dans le domaine public), etc. Quelques exemples de wikis (1/3) Le Wiki : outil du travail collaboratif Sessions informatiques – SCD Angers
8. WikiPolDoc : - WikiPoldoc a été créé par le groupe PolDoc, animé par Bertrand Calenge et hébergé par l'ENSSIB. - Il s'adresse à toutes celles et ceux qui ont à « acquérir, suivre et gérer des collections et des ressources documentaires ». - L'objectif du wiki est de mutualiser
En castellano hay numerosas alternativas para traducción para la palabra lean o, más bien, para el concepto.
Es bastante común emplear el término esbelto, menos común el emplear el de austero. En cualquier caso, ambos
conceptos están conectados: el primero proporciona una imagen visual mientras que el segundo hace referencia
a una guía. Lean emplea numerosas guías o técnicas para conducir la actividad hacia un espacio en el que no haya
desperdicio y requiere de indicadores para transmitir el avance
Incluso aunque no sepa de antemano cómo se desarrollarán los eventos. ¿Cómo se supone que puede predecir con exactitud el comportamiento de los clientes o los movimientos futuros del mercado? En un mundo cada vez más conectado aparecen continuamente nuevas opciones, pero también riesgos.
Desea ser el primero en el mercado y beneficiarse de las ventajas de ser pionero; y cuando la competencia lo alcance, desea seguir siendo competitivo. Algo que solo es posible si, por un lado, puede desarrollar soluciones con gran rapidez y, por otro, es capaz de seguir mejorándolas de forma rápida y continua.
Posicionamiento Metasonic: la plataforma líder para resolver sus problemasJuan José Vázquez Rubio
Metasonic, el software empresarial de última generación, le ofrece un juego de herramientas ideal para responder a la dinámica permanente de la actividad empresarial. Su funcionamiento intuitivo significa que todos los usuarios pueden diseñar sus propios flujos de trabajo ellos mismos y adaptarlos continuamente, lo que facilitar aceptar sus compromisos y libera recursos técnicos.
Con módulos flexibles, que le permiten crear soluciones estandarizadas con rapidez y modificarlas repetidamente mientras están en funcionamiento. Desde el primer día en el entorno de producción, las soluciones proporcionan los indicadores de rendimiento clave que necesita para ayudarle a mejorar su negocio de forma controlada y continua. La ventaja para usted: sus empleados están más comprometidos, su organización se libera de múltiples restricciones y puede desarrollar el potencial de su empresa de forma más rápida y eficaz.
Los paquetes de software a gran escala, como sistemas ERP o similares, incluyen funciones básicas insustituibles para su empresa. Sin embargo, a menudo no tiene la flexibilidad que necesita debido a las interdependencias de los paquetes de software. El acceso a través de las secuencias de pantallas y flujos de trabajo suministrados tampoco satisface las necesidades en rápido cambio de los departamentos del negocio. Para desarrollar rápidamente nuevas soluciones con la funcionalidad estándar existente, tiene que modularizar esta funcionalidad y suministrarla de forma flexible como parte de una plataforma software común.
Conoce muy bien los requisitos de sus clientes y los procesos de su negocio. Sin embargo, en su opinión, a menudo fracasan muchas ideas y posibilidades de optimización debido a un departamento técnico que resulta demasiado lento. Los proyectos tediosos y las fases de planificación, presentaciones de datos complejas y el riesgo de grandes costes de tiempo y dinero no producen el entorno que desea para trabajar. Se resigna a procesos que no son óptimos, sabiendo que trabaja de forma ineficiente y permite que se esfumen unas ideas u otras.
Introducción a S-BPM y Metasonic Suite.
La arquitectura de Metasonic está construida directamente sobre la base de la metodología.
Hemos prescindido del pesado y lento modelo tecnológico de un motor de control de flujo; que usan todos los productos del mercado. Empleamos un modelo de mensajes basado en lenguaje natural y 100% SOA. La facilidad de integración con cualquier plataforma del mercado se logra a partir de lo que denominamos 'Refinamienots'
La conexión entre Metasonic S-BPM y LEAN es simbiótica. Hoy en día somos el único producto BPM que es integrado habitualmente en las cadenas de producción.
El análisis PESTEL es una herramienta estratégica que examina seis factores clave del entorno externo que podrían afectar a una empresa: políticos, económicos, sociales, tecnológicos, ambientales y legales.
Entre las novedades introducidas por el Código Aduanero (Ley 22415 y Normas complementarias), quizás la más importante es el articulado referido a la determinación del Valor Imponible de Exportación; es decir la base sobre la que el exportador calcula el pago de los derechos de exportación.
Guía para hacer un Plan de Negocio para tu emprendimiento.pdfpppilarparedespampin
Esta Guía te ayudará a hacer un Plan de Negocio para tu emprendimiento. Con todo lo necesario para estructurar tu proyecto: desde Marketing hasta Finanzas, lo imprescindible para presentar tu idea. Con esta guía te será muy fácil convencer a tus inversores y lograr la financiación que necesitas.
PREVENCION DELITOS RELACIONADOS COM INT.pptxjohnsegura13
Concientizar y sensibilizar a los funcionarios, sobre la importancia de promover la seguridad en sus operaciones de comercio internacional, mediante la unificación de criterios relacionados con la trazabilidad de sus operaciones.
1. START /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
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LEANERSMAGAZINE·NÚM.07|MAYO2015
Regional Head de Metasonic
@jjvazquezrubio
Juan Vázquez
Lean es eminentemente visual. No hay más que fijarse en algunos
de sus principios o componentes como: 5s (seiri o clasificar, seiton
u ordenar, seiso o limpiar, seiketsu o estandarizar y shitsuke o sos-
tener/mantener), Value Maps, SIPOCs, Scorecards… hay una razón
clara: el mejor elemento de proceso que tienen los seres humanos
es visual.
Hoy en día nadie duda de la necesidad y relevancia del uso de las
tecnologías de la Información (TIC). Están presentes en todos los
espacios de la actividad humana. Sin embargo, cada vez surgen
más voces que demandan una evolución teniendo en cuenta que
los sistemas transaccionales y documentales han alcanzado su lí-
mite de contribución.
TI como canal y pilar de la adopción de Lean//// Plataforma Metasonic Touch
START
En castellano hay numerosas alternativas para traducción para la palabra lean o, más bien, para el concepto.
Es bastante común emplear el término esbelto, menos común el emplear el de austero. En cualquier caso, ambos
conceptos están conectados: el primero proporciona una imagen visual mientras que el segundo hace referencia
a una guía. Lean emplea numerosas guías o técnicas para conducir la actividad hacia un espacio en el que no haya
desperdicio y requiere de indicadores para transmitir el avance.
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MAYO2015|NÚM.07·LEANERSMAGAZINE
Eso no significa que no sigan siendo necesarios, que lo son, sino
que no pueden asumir el papel que se les demanda. Diferentes
informes de prestigiosos analistas muestran como, cada día, los
usuarios están más lejos las TIC, y buscan respuestas en forma de
tendencias como shadow IT, citizen developer…
La actividad de las empresas necesita adaptarse a un escenario
que está definido por tres palabras clave: transparencia, responsa-
bilidad y sostenibilidad. Y las tecnologías deben proveer de un ele-
vado nivel de accesibilidad, proporcionar propiedad —porque no
es posible asumir la responsabilidad de lo que no se es dueño—, y
ayudar a lograr los resultados establecidos consumiendo la menor
cantidad posible de recursos.
Y en todo momento, y de manera implícita, dar el protagonismo
a la persona, al usuario en el contexto en el que trabaja, donde se
incluyen tanto su propia organización como los competidores o los
consumidores (clientes o ciudadanos). No compartir el contexto
hace que la distancia entre el usuario y el departamento de TI no
pare de crecer.
Es necesario dotar a las TI de herramientas que le permitan redu-
cir esa brecha y solucionar los problemas escuchando al usuario.
Hoy el usuario quiere emplear lean para mostrar lo que hace (trans-
parencia), ser propietario (responsable) y consumir con sobriedad
(sostenibilidad). La acción continuada bajo estos tres vectores per-
mite poner en práctica la mejora continua, la idea de Kaizen.
Comunicación, colaboración
Este estado, el de perseguir la mejora sin descanso, es alcanzable
pero hace falta adoptar nuevos modelos que pasan, en primer lugar,
por acercar las TIC al usuario y no viceversa. La primera y más im-
portante acción es hablar el mismo lenguaje.
La barrera del lenguaje la rompemos cuando podemos trasladar
una conversación de un grupo de personas a un ordenador. Ima-
ginemos que estamos en una reunión de amigos (los sujetos). Lo
primero que hacemos es buscar un lugar común de conversación (el
contexto). Y, a continuación, se produce un intercambio dirigido de
comunicaciones (los mensajes).
Es decir, tres elementos que pueden ayudar a poner en marcha la
evolución necesaria para romper o cubrir la brecha con el usuario:
sujetos, contextos y mensajes. Los tres están conectados, tanto en el
plano formal como en el intuitivo. Los tres son partes constituyen-
tes del diálogo, de una conversación, y ponen al ser humano en el
foco de atención.
Lo bueno de estos tres conceptos es que existen probados modelos
matemáticos que permiten crear un modelo semántico y, por tanto,
ejecutable por un ordenador.
Tras solventar la barrera del lenguaje viene la de la representación
o visualización. Es necesario disponer de un modelo que emplee
los elementos del lenguaje para construir programas de ordenador.
Nuestra propuesta para ese modelo visual se organiza en dos repre-
sentaciones, con cinco símbolos que permiten la descripción de los
contextos.
Las dos representaciones son: Vista de Comunicación (VdC) y Com-
portamiento del Sujeto (CdS).
Y los cinco símbolos son: sujeto, transición, entrada, actividad y sa-
lida.
Cada uno de estos elementos son piezas de software y su combina-
ción da lugar a una aplicación que cuenta con formularios, integra-
ciones, scorecards… y que puede combinar tanto sujetos humanos,
como máquinas (aplicaciones, robots, catadores…).
La combinación de Vista de Comunicación y Vista de Comporta-
miento tiene un beneficio claro: fomentar el trabajo cooperativo y el
diálogo. En la Vista de Comunicación las personas, que interpretan
a los sujetos, dialogan sobre la información que requieren para rea-
lizar su actividad.
Los participantes elaboran un “Mapa de Sujetos” conectados por el
intercambio de mensajes bajo un contexto determinado. Un con-
texto representa el elemento descriptivo principal y es un acuerdo
entre los participantes. Puede ser un problema de nueva índole, una
mejora, una simplificación… Pero con una regla: debe poder ser vin-
culado a un producto de entrada o de salida. Por ejemplo, “Modificar
los datos de póliza de Seguro Hogar”.
Los sujetos se vinculan entre sí a través de transiciones, que re-
presentan la transferencia o el tráfico de elementos entre sujetos,
como pueden ser un documento, una llamada telefónica o un SMS.
Y cuentan con una carga de información variada: una expedición
de aduana, una notificación de material agotado de un PLC o robot,
o una reunión.
Las Vistas de Comunicación facilitan el análisis visual. Es posible
detectar si los sujetos que se muestran son los que se precisan, si
faltan o si sobran. En cuanto a las transiciones, resulta muy sen-
cillo ver si se repiten, se concentran o distribuyen, desaparecen…
Este análisis permite ‘esbeltizar’ el contexto y se produce durante
las interacciones con cada etapa de descripción de comportamiento.
Mapa de valor
Una Vista de Comunicación es el equivalente de un Value Stream
Map (VSM) pero considerando las limitaciones humanas. Un Mapa
de Valor puede llegar a ser excesivo en su amplitud porque no per-
mite contextualización.
Un VSM (de información o de material), al intentar concentrar
tanto conocimiento (elementos lógicos, datos, áreas de acción)
No compartir el contexto hace que la distancia entre el usuario
y el departamento de TI no pare de crecer
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LEANERSMAGAZINE·NÚM.07|MAYO2015
alcanza rápidamente un elevado nivel de complejidad por la que
deja de ser manejable por el ser humano. Esto origina, por ejem-
plo, apreciaciones arbitrarias de la generación de valor. Reciente-
mente, en una sesión de trabajo con una empresa química quedó
patente este defecto. Los mapas de valor del ‘Lean master’ no re-
presentaban la realidad de los carretilleros, almacenistas y expe-
dicionarios. Fue in momento de “sorpresa” descubrir que el mapa
de valor era irreal.
La Vista de Comunicación resuelve esta complejidad, porque está
apoyada en las Vistas de Comportamiento del sujeto. El método
completo de construcción es un modelo arquitectural basado en
elementos lógicos, de información y de automatización. Un VSM
no responde a un modelo arquitectural sino a uno descriptivo.
Una Vista de Comportamiento permite describir la contribución
del sujeto referente en términos de acción y diálogo. Emplea tres
símbolos: actividad, entrada y salida. La representación incluye
sendas áreas en las que aparecen los proveedores y consumidores
conectados con el sujeto: es un diagrama SIPOC (suppliers, inputs,
process, outputs, customers).
La secuencia de acciones y diálogos del comportamiento de un
sujeto está regulado por las transiciones. Sin embargo, éstas no
tienen el mismo uso en la Vista de Comunicación que en la de
Comportamiento. Aquí las transiciones representan una lógica de
flujo que puede ser gobernada y ordenada.
La Vista de Comportamiento permite realizar una segunda etapa
de análisis, si bien ahora encaminada a detectar los elementos
donde se genera valor y aquellos que son redundantes (desperdi-
cio). Es decir, en esta etapa el usuario que encarna al sujeto busca
la sobriedad. Por ejemplo, es habitual ver líneas de flujo en las que
sólo se encuentran secuencias de mensajes de entrada y salida.
Un claro indicador de latencias: desperdicio de tiempo. También
es fácil identificar secuencias de acción sin producir salidas, que
indican sobre-procesamiento.
Conclusión
Cualquier proceso de cualquier sector puede ser modelado de for-
ma completa empleando sólo el lenguaje y estos cinco símbolos.
Metasonic Touch —superficie inteligente y sus bloques— la plata-
forma de modelización para definir un proceso y desplegarlo al en-
torno de validación (Metasonic Proof) resulta idónea para abordar
el uso de lean y llevarla a la práctica para convertir las necesidades
en soluciones IT.
Se trata de plantear un modelo colaborativo de trabajo, en el que
se describe el comportamiento de los sujetos (actores) y la comu-
nicación que mantienen entre ellos (mensajes, información), tal y
como ocurre en la vida real. ◆◆◆
SIMPLICITY
Customer experience & agility up, operating costs down
“OUTSIDE-IN”
CUSTOMER FOCUS
CLEAR VISION
& STRONG LEADERSHIP
SIMPLIFY PORTFOLIO
& CHANNELS
RADICALLY SIMPLIFY
PROCESSES
RADICALLY SIMPLIFY
SYSTEMS
DON’T ADD BACK
COMPLEXITY
FIGURA 1. La mejora continua es una misión permanente, un esfuerzo constante en el tiempo, lo que implica adoptar una organización ágil .
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