ESIA - Un outil de financement pour le développement des entreprises responsa...Marseille Innovation
ESIA - Un outil de financement pour le développement des entreprises responsables
Créé par les pouvoirs publics en 2001, ESIA est un organisme d’expertise et de financement d’activités sociales, solidaires et responsables. Il intervient dans les champs du développement économique et de la création d’emploi.
Par le soutien à la croissance des petites entreprises de la Région PACA, ESIA contribue au développement économique durable du territoire.
ESIA met quatre types d’outils à la disposition des entreprises responsables :
- Des emprunts participatifs d’une durée allant jusqu’à 7 ans, destinés à consolider les hauts de bilans et financer en particulier les besoins en fonds de roulement des entreprises en développement. - Des garanties d’emprunts bancaires pour faciliter l’intervention des partenaires bancaires à moyen terme.
- Le Contrat Expérimental pour le Développement Responsable de l’Emploi (CEDRE). CEDRE est un outil régional qui finance, par subvention, des petites entreprises qui sont dans une logique de changement d’échelle économique et qui développent des pratiques responsables en matière sociale, sociétale et environnementale.
- ESIA est conventionné NACRE par l’ETAT.
Se lancer dans l'e-commerce : Préparer son projet e-commerce en amont et crée...PrestaShop
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Découvrez les clés et étapes essentielles pour ouvrir votre boutique en ligne.
Au-delà de la simple création de la boutique, chaque e-commerçant se doit de déterminer son nom de domaine, choisir son hébergement, son mode de paiement, savoir comment être visible tout en maîtrisant ses coûts.
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- Des emprunts participatifs d’une durée allant jusqu’à 7 ans, destinés à consolider les hauts de bilans et financer en particulier les besoins en fonds de roulement des entreprises en développement. - Des garanties d’emprunts bancaires pour faciliter l’intervention des partenaires bancaires à moyen terme.
- Le Contrat Expérimental pour le Développement Responsable de l’Emploi (CEDRE). CEDRE est un outil régional qui finance, par subvention, des petites entreprises qui sont dans une logique de changement d’échelle économique et qui développent des pratiques responsables en matière sociale, sociétale et environnementale.
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1. Les réseaux sociaux ont pris une dimension soudaine dans la vie quotidienne des individus et affectent durablement les domaines les plus divers comme la conduite des opérations militaires.
2. L’actualité opérationnelle la plus récente (opération Serval) rappelle ainsi que les armées n’échappent pas au phénomène, avec l’inondation de la page Facebook de l’Etat-major des armées de messages défavorables à nos opérations au Mali. Dans le domaine militaire, les réseaux sociaux sont ambivalents : ils peuvent être utilisés au profit de nos forces armées ou au profit des sources opposées.
3. La présente RDIA fait un point de situation sur les réseaux sociaux, et met en perspective les conséquences potentielles pour nos forces armées. Elle fait suite à une étude prospective et stratégique conduite en 2012 au profit du CICDE, portant sur la nature et les conséquences des réseaux sociaux pour les forces armées. Elle précède une étude complémentaire sur l’exploitation opérationnelle des réseaux sociaux.
Fruit de plus d’un an de travail mené dans le cadre de la délibération sur la politique économique et industrielle ouverte début 2010, « Approche de la compétitivité française" développe une analyse partagée de problématiques économiques, avec plusieurs objectifs :
- constituer un outil de référence, pédagogique et accessible au plus grand nombre, pour les organisations signataires et leurs représentants ;
- dépasser les polémiques stériles qui caractérisent les débats sur la compétitivité, traditionnellement considérée comme une préoccupation exclusivement patronale.
- s’accorder sur les causes de la perte de compétitivité de la France, et établir des priorités pour redresser la situation économique
Le préambule du rapport résume les points essentiels des discussions, notamment : la nécessité de bien appréhender la compétitivité pour ce qu’elle est c'est-à-dire non pas une fin en soi, mais une condition de la prospérité ; le souci de mettre en évidence à la fois la compétitivité-coût et la compétitivité hors coût ; la volonté de ne pas céder au « déclinisme » ambiant, en proposant des pistes pour bâtir un projet économique et social dans les années à venir.
L’équipe du Projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et du Terroir « PAMPAT» a le plaisir de vous présenter le deuxième numéro de notre bulletin d’information trimestriel. A travers cet outil de communication, nous partageons avec nos lectrices et lecteurs, les informations sur la mise en œuvre du projet: ses objectifs, activités et réalisations.
Le PAMPAT dispose dorénavant d'une page Facebook à travers laquelle vous pouvez suivre nos activités et interagir avec l'équipe du projet: www.facebook.com/pampat.tn.
Karim Chibout, Martial Martin, les croyances sur Internet comme jeu de co-con...Martial Martin
L’étude porte sur des croyances exposées par les utilisateurs via certains outils numériques, principalement les réseaux sociaux virtuels, les blogs et les forums, ayant cependant pour origine des produits culturels de masse. Elle s’intéressera au point d’articulation entre d’une part une communication de type « top-down » à des fins de promotion de biens culturels (marketing et storytelling) et d’autre part la production d’une culture commune (d’un culte commun ?) par les utilisateurs des technologies numériques (web 2.0). Nous nous intéressons par exemple au culte Jedi-iste (Star Wars) et aux croyances eschatologiques (2012).
Paradoxalement, les « fausses » ( ?) croyances exprimées évoquent les plaisirs fugaces de la fiction (« willing suspension of disbelief ») mais étendus aux pratiques sociales du quotidien ; elles s’apparentent à un jeu, une manière de fuir les désordres de la réalité (climatiques, économiques, sociaux, politiques, religieux…) et, dans le même temps, sont fortement connectées à cette réalité désenchantée. Nous avions déjà entraperçu cette contradiction interne dans l’analyse des constructions imaginaires «faniques » autour de l’univers des jeux en ligne multi-joueurs (Chibout & Martin, 2009).
A l’heure où les textes fondateurs (livres saints, constitution, traditions…) et les certitudes universelles sont ébranlés (Lyotard), on feint de croire à des réalités inventées de toutes pièces (pour ne pas dire faites de bric et de broc). Les échanges virtuels portant sur les pseudo-croyances renvoient, en effet, à des co-constructions hybrides mêlant faits scientifiques, prophéties ésotériques, superstitions et religion(s) mondiales et transhistoriques (qui prennent sens dans une créolisation généralisée).
Très liées aux circonstances qui les ont vues naître ou dans lesquelles on les a diffusées ou partagées, ces croyances sont marquées par l’inconstance ou l’inconsistance. L’absence de profondeur des « convictions » est à l’image de la labilité et de la fluidité des relations et des conduites installées dans la vie virtuelle.
Arquitectura tradicional COMARC A D E L A LTO GUADIATO (CÓRDOBA , A N DA L U ...Soipuerta Soy-puerta
La historia contemporánea del Valle del Alto
Guadiato está condicionada en gran medida
por la explotación de sus recursos mineros. El
origen de la minería en la comarca se remonta
a la prehistoria, existiendo vestigios de esta
actividad de hace 4.300 años. En el año 1778
se delata la primera mina de la comarca, a orillas
del arroyo “La Hontanilla”, que quedaría
abandonada tras dos años de explotación. En
1790 se reanuda la actividad bajo el patrocinio
del Estado, pero no será hasta bien entrado el
siglo XIX cuando la minería comience su verdadero
auge en la cuenca del Alto Guadiato.
A mediados de siglo XIX, en plena fiebre minera,
se registran en la zona numerosas minas
COMARC A D E L A LTO GUADIATO (CÓRDOBA , A N DA L U C Í A )
Todo los pdf aquí recopilados son propiedad de sus autores yo solo lo estoy recopilado para salvaguardarlos
Reconociendo el contexto y la realidad: entre la complejidad y la multidimens...MariXa PiñerOs
Reconociendo el contexto y la realidad: entre la complejidad y la multidimensionalidad,
Es un municipio muy hermoso, y lo que esta escrito es casi un resumen de lo que hay en el municipio.
17. La Ribera Alta tiene una superficie de 1.011,50 Km2 y la conforman 35 municipios.
18. Limita al norte con las comarcas de la Hoya de Buñol y la Huerta Oeste , al este con la Huerta Sur y la Ribera Baja , al oeste con el Canal de Navarrés y al sur con La Costera y Safor .
19. Esta comarca es por antonomasia la Ribera del Júcar , río que discurre por toda la vega y es el eje principal de la misma, junto con sus afluentes:
24. Vies de comunicació : Desde Valencia , se accede a esta localidad a través de la A-7 tomando luego la CV-520 .
25. Llombay da su nombre a la Hoja 746 del Mapa Topográfico Nacional a escala 1:50.000 y a la 746-II a escala 1:25.000.
26. Tambien se puede llegar a traves del autobus o con el metro parando en la estacion de “el almaguer”.
27.
28.
29. Llombay posiblemente tenga su origen en un poblado íbero surgido del aglutinamiento de la población (sinecismo) de los pequeños poblados de la Cultura del Bronce Valenciano circundantes al valle, donde bajaron y se asentaron en la loma sobre la que se sitúa actualmente Llombay. El pueblo se emmarcaría dentro de los territorios de la tribu ibera de los Edetanos y, con casi total seguridad, dependería de la cercana ciudad ibérica de Kili (La Carencia, Turís ) el mayor núcleo de población de la zona por aquel entonces, allá entre los siglos VI y III a.C.
30. Con la conquista romana a finales del siglo III a.C y la posterior romanización el pueblo se pasó a llamar Lumbardium o Lumbariu, que viene de que el pueblo se asienta en una loma. Por esa misma época por el término aparecen más núcleos de población pueblos o pequeñas aldeas, todos hoy desaparecidos o despoblados . Son los casos de Cabanes , Torralba , Aledua (la única de la que queda algo en pie) y la villa romana de Ondara.
31. Historia de la poblacion La mayoría de los asentamientos desaparecieron en la época del Bajo Imperio durante la crisis del siglo III y quedaron como lugares de defensa, a excepción de Aledua , también conocido como Eleydua, que continuó habitado hasta el siglo XVII. Con la entrada del régimen visigodo en el siglo VI d.C el poblado pasa a llamarse Lumbar o Lumba, citado, pues en el existía el límite de la diócesis de Elche , muy importante en su tiempo. Poco se sabe de Llombay en los tiempos musulmanes, cuando paso a llamarse Al-Lumbair o Alumber. El único dato conocido es que Don Rodrigo Díaz de Vivar , más conocido como El Cid Campeador , pasó por allí, después de haber atacado el cercano castillo de Alcalá o Alcalans (de ahí el nombre de la antigua comarca) y de haber capturado a su alcaide. Conquistada por Jaime I en 1238 , en el Llibre del Repartiment el pueblo de Llombay fue dado al Caballero Gaulabia. Su señorío fue concedido a Gonzalo García, señor de Mogente , en 1336 por el rey Pedro el Ceremonioso , con jurisdicción alta y baja y mero imperio. Hacia el final del mismo siglo XIV pasó a la familia Centelles . El 21 de abril de 1404 tuvo lugar en las cercanías del pueblo la Batalla del Forcat , una batalla entre las familias nobles de los Centelles, a los que claramente apoyaban los habitantes de Llombay ya que eran sus barones, y los Vilaragut, que formaban parte del bando de los Soler.
32.
33. Carlos I decidió darle a Francisco de Borja el rango de Marqués de Llombay, convirtiéndose en el primer marqués de este pueblo. Con él empezó un cambio drástico en por aquel entonces pequeño pueblo habitado mayoritariamente por moriscos a convertirse en un importante centro cultural y espiritual de la zona, gracias a la construcción del convento de los Dominicos y a la iglesia de la Santa Cruz (un importante y desconocido ejemplo del último gótico rural que queda en España).
34. El pueblo sufrió mucho durante la expulsión de los moriscos quedando así muy pocas familias cristianas en el lugar, propiciando así la desaparición del poblado de Aledua y el gran descenso de población en Llombay, que debió ser en parte repoblado por familias proveniente de otros pueblos del Reino de Valencia , entre ellos Torrente , o de zonas tan lejanas como el Ampurdán Catalán. Esto favoreció la extensión de apellidos autóctonos hoy muy abundantes en este pueblo como Bisbal, Martínez, Sans, Tallada, Noverques y Climent.
36. Datos fisics del poble El clima mediterráneo es una variedad del clima subtropical (en el clima mediterráneo típico), o del clima templado (en el clima mediterráneo continentalizado) que se caracteriza por sus inviernos templados; y los veranos secos y calurosos. El nombre lo recibe del Mar Mediterráneo , área donde es típico este clima, pero también está presente en otras zonas del planeta. Se caracteriza por tener una pluviosidad bastante escasa (500 mm) y concentrada en las estaciones intermedias (primavera y otoño), con temperaturas muy calurosas en verano y relativamente suaves en invierno , con un periodo más o menos largo de heladas en esta estación. La vegetación resultante es arbórea de tipo caducifolio o perennifolio con árboles no muy altos y unos estratos herbáceos y de matorrales.
37.
38. Templo de la Santa Cruz y Claustro del exconvento de Dominicos (siglo XVI, año 1544), declarado monumento histórico-artístico de carácter nacional por Real Decreto 3252/1982, de 12 de noviembre. Fué construido por San Francisco de Borja, primer Marqués de Llombai.
63. Serveis de neteja: en llombai netejen cuatre persones tot el poble auque ara en temps de crisis ha contractat persones per a netejar barrancs... tambe hi ha un coche barredera que el usen per a netejar carrers.