El documento define el crecimiento y desarrollo económico, y explica cómo se mide el desarrollo y crecimiento de un país. El desarrollo económico incluye consideraciones sociales y ambientales, mientras que el crecimiento se refiere a términos económicos nominales. El desarrollo de un país se mide tradicionalmente por el PIB per cápita, pero el Índice de Desarrollo Humano es una medida más completa del bienestar de la población.
UNIDAD I MICROECONOMIA
1.1.- CONCEPTOS
1.2.- ESTUDIO DEL COMPORTAMIENTO DE LOS AGENTES INDIVIDUALES
1.2.1.- INDIVIDUOS
1.2.2.- FAMILIAS
1.2.3.- EMPRESAS
1.2.4.- MERCADOS
1.2.5.- ESTUDIOS DE LA ASIGNACION DE RECURSOS ESCASOS
UNIDAD II COMPORTAMIENTO ECONOMICO DEL INDIVIDUO
2.1.- FUNCION DE LA UTILIDAD
2.2.- CONSECUENCIAS DEL COMPORTAMIENTO DEL CONSUMIDOR
2.3.- ANALISIS DE LA CURVA DE INDIFERENCIA
2.4.- ANALISIS DE LA RELACION MARGINAL DE SUSTITUCION
2.5.- ANALISIS DE LA VARIACION DEL PRECIO
2.6.- ANALISIS DE LA SITUACION DEL PRODUCTO
2.7.- RESTRICCION PRESUPUESTARIA
2.8.- EFECTOS DE LOS IMPUESTOS
UNIDAD III ANALISIS DEL COMPORTAMIENTO DE LOS EMPRESARIOS EN EL MERCADO
3.1.- OFERTA Y CANTIDAD OFRECIDA
3.2.- INDICADORES DE LA OFERTA
3.3.- INDICADORES DE LA DEMANDA
3.3.1.- ANALISIS DE LA DEMANDA
3.4.- ANALISIS DE LOS FACTORES QUE INFLUYEN EN LOS CONSUMIDORES
3.5.- CURVA DE LA DEMANDA
3.6.- ELASTICIDAD
UNIDAD IV ANALISIS DE LA TEORIA DE LA DE LA PRODUCCION Y LOS COSTOS
4.1.- TEORIA DE LA PRODUCCION
4.2.- PRINCIPIOS DE LA ACTIVIDAD ECONOMICA
4.2.1.- DE LA ESCASEZ
4.2.2.- DE LOS RENDIMIENTOS RECIENTES
4.2.3.- DE LA EFICACIA ECONOMICA
4.3.- OPTIMIZACION DE LA PRODUCCION
4.4.- COSTO MINIMO DE PRODUCCION
4.5.- COSTO TOTAL
4.6.- TASA DE RENDIMIENTO
4.7.- CAPACIDAD DE PRODUCCION
4.8.- ELEMENTOS DEL COSTO DE PRODUCCION
4.8.1.- FIJO
4.8.2.- VARIABLE
4.8.3.- MARGINAL
4.8.4.- PROMEDIO TOTAL
4.8.5.- PROMEDIO FIJO Y VARIABLE
4.9.- INTERPRETACION TUBULAR DE LOS COSTOS
4.10.- ANALISIS DEL PUNTO DE EQUILIBRIO
UNIDAD I MICROECONOMIA
1.1.- CONCEPTOS
1.2.- ESTUDIO DEL COMPORTAMIENTO DE LOS AGENTES INDIVIDUALES
1.2.1.- INDIVIDUOS
1.2.2.- FAMILIAS
1.2.3.- EMPRESAS
1.2.4.- MERCADOS
1.2.5.- ESTUDIOS DE LA ASIGNACION DE RECURSOS ESCASOS
UNIDAD II COMPORTAMIENTO ECONOMICO DEL INDIVIDUO
2.1.- FUNCION DE LA UTILIDAD
2.2.- CONSECUENCIAS DEL COMPORTAMIENTO DEL CONSUMIDOR
2.3.- ANALISIS DE LA CURVA DE INDIFERENCIA
2.4.- ANALISIS DE LA RELACION MARGINAL DE SUSTITUCION
2.5.- ANALISIS DE LA VARIACION DEL PRECIO
2.6.- ANALISIS DE LA SITUACION DEL PRODUCTO
2.7.- RESTRICCION PRESUPUESTARIA
2.8.- EFECTOS DE LOS IMPUESTOS
UNIDAD III ANALISIS DEL COMPORTAMIENTO DE LOS EMPRESARIOS EN EL MERCADO
3.1.- OFERTA Y CANTIDAD OFRECIDA
3.2.- INDICADORES DE LA OFERTA
3.3.- INDICADORES DE LA DEMANDA
3.3.1.- ANALISIS DE LA DEMANDA
3.4.- ANALISIS DE LOS FACTORES QUE INFLUYEN EN LOS CONSUMIDORES
3.5.- CURVA DE LA DEMANDA
3.6.- ELASTICIDAD
UNIDAD IV ANALISIS DE LA TEORIA DE LA DE LA PRODUCCION Y LOS COSTOS
4.1.- TEORIA DE LA PRODUCCION
4.2.- PRINCIPIOS DE LA ACTIVIDAD ECONOMICA
4.2.1.- DE LA ESCASEZ
4.2.2.- DE LOS RENDIMIENTOS RECIENTES
4.2.3.- DE LA EFICACIA ECONOMICA
4.3.- OPTIMIZACION DE LA PRODUCCION
4.4.- COSTO MINIMO DE PRODUCCION
4.5.- COSTO TOTAL
4.6.- TASA DE RENDIMIENTO
4.7.- CAPACIDAD DE PRODUCCION
4.8.- ELEMENTOS DEL COSTO DE PRODUCCION
4.8.1.- FIJO
4.8.2.- VARIABLE
4.8.3.- MARGINAL
4.8.4.- PROMEDIO TOTAL
4.8.5.- PROMEDIO FIJO Y VARIABLE
4.9.- INTERPRETACION TUBULAR DE LOS COSTOS
4.10.- ANALISIS DEL PUNTO DE EQUILIBRIO
Videoconferencia con Representantes de Escuelas, realizada por el Presidente del Consejo General Sindical del CEN del SNTE, C. Mtro. Juan Díaz de la Torre.
Défrichage : réseaux sociaux, espace social et big dataNadia Seraiocco
Le « réseau social » est un « produit » , dont le «pourquoi » est la fabrication des rapports sociaux et leur monétisation par une entreprise. Ce qui mène à la création de rapports sociaux dans une perspective économique « grossière », pour paraphraser Lefebvre.
Le réseau socionumérique est aussi un faisceau de liens qui trouvent leur sens dans la lecture qu’en font les utilisateurs.
Le Réseau de jeunes géomètres (young surveyor network) de la Fédération inter...ACSG Section Montréal
Le « Young surveyor network -YSN » ou Réseau des jeunes géomètres est une branche de la Fédération internationale des géomètres (FIG). La Fédération Internationale des Géomètres (FIG) a été fondée en 1878, à Paris. De nos jours, c'est une organisation non-gouvernementale reconnue par les Nations Unies qui regroupe des associations nationales de géomètres et de géomaticiens provenant de plus de 100 pays, qui évoluent dans des disciplines liées à la géomatique, telles que la géodésie, l’arpentage, la délimitation foncière, le cadastre, la collecte et la gestion de données territoriales. Sa raison d’être est de promouvoir une collaboration internationale visant le progrès global de la géomatique dans toutes ses disciplines et tous ses champs d’application. Le Réseau des jeunes géomètres ou Young Surveyor Network a pour sa part pour objectif d’intéresser les étudiants et les nouveaux professionnels aux activités de la FIG, à promouvoir leur implication dans les organisations locales, nationales et internationales qui développent et prennent part au monde de la géomatique et ultimement à encourager l’expertise et améliorer le futur de notre domaine, par l’apport de la relève. Le public cible du réseau sont les jeunes de moins de trente-cinq ans et ceux ayant obtenu leur diplôme universitaire dans les dix dernières années. Nous souhaitons présenter ces deux organisations et envisager une possible implication québécoise des jeunes œuvrant dans le domaine de la géomatique au Québec. Les liens avec les autres communautés francophones, les échanges internationaux, l’implication des jeunes au niveau de leur profession et leur réseautage sont des éléments qui nous tiennent particulièrement à cœur.
Esta expocisión muestra los grandes beneficios que contienen algunos juegos interactivos, es este caso JCLIC, JCLIC es una manera de poder realizar juegos educativos de manera interactiva.
Mariage entre géomatique et intelligence d'affaires : les bases par l'exempleACSG Section Montréal
Le mariage entre géomatique et intelligence d'affaires est né au milieu des années 1990. Quinze années plus tard, nous pouvons dire qu'une véritable communauté scientifique et d'affaires en a émergé comme en témoigne l'apparition récente d'une trentaine de produits commerciaux ainsi que de nombreux projets géodécisionnels. Comme les concepts sous-jacents proviennent de deux univers s'étant développés en silos, il en résulte des approches et terminologies très différentes qui rendent difficile la compréhension de part et d'autre des bénéfices résultant de la combinaison de ces deux familles de technologies. L'objectif de la présente conférence est donc de démystifier les bases du domaine géodécisionnel par l'exemple. Ainsi, au-delà de brefs rappels théoriques, nous retrouverons des exemples présentant concrètement les avantages d'intégrer efficacement ces deux univers demeurés parallèles jusqu'à récemment. Ces exemples seront autant fonctionnels (ex. opérateurs géodécisionnel des logiciels) qu'applicatifs (ex. domaines d'application tels que santé publique et changements climatiques, géomatique participative, gestion des infrastructures, transport et logistique). L'auditoire devrait en tirer une meilleure compréhension des raisons pouvant l'amener à investir ou non dans les projets géodécisionnels.
Le 6 novembre dernier, la Ville de Saint-Eustache inaugurait son tout nouveau centre de services aux citoyens, dénommé le SEM (Saint-Eustache Multiservice). Les citoyens peuvent désormais se rendre au SEM pour régler leur compte de taxes municipales, effectuer des divers paiements (activités, collecte de branches, etc.), se procurer différents formulaires, obtenir leur carte de citoyen, consulter le cadastre, acheter leurs titres de transport, déposer une plainte ou formuler une requête. Comme soutien à ce centre de service, les systèmes d’information géographique (SIG) interviennent afin de permettre aux agentes du SEM de localiser les éléments susceptibles d’intervenir dans la saisie de plaintes ou de requêtes (matrice graphique, infrastructures, etc.) lors de la prise d’appel. De plus, les internautes peuvent accéder à une carte interactive qui leur permet, entre autres, de visualiser leur propriété, le rôle d’évaluation, les pistes cyclables, les trajets d’autobus, la collecte des déchets, etc. Afin d’améliorer les services en ligne déjà existants, la Ville a développé un portail qui utilise notamment les SIG afin d’afficher les lieux d'intérêt, les attraits touristiques, les divers services publics, les écoles, garderies, parcs, équipements municipaux et ce, dans un rayon de 300 mètres de la propriété concernée. En conclusion, l’implantation de la géomatique à la Ville de Saint-Eustache a été l’élément déclencheur dans l’intégration des systèmes informatiques existants (requêtes et plaintes, taxation, sécurité incendie, etc.).
¿Cual es la relación que existe entre la innovación y el nivel de desarrollo de un país? La innovación y el desarrollo explicado en torno a los Objetivos de desarrollo sostenible. Presentacion para la clase de gestión tecnológica del cuso de gestión de la tecnología y la innovación del programa de ingeniería industrial de la Universidad Pontificia Bolivariana
2. DEFINICIONES.
• Crecimiento Económico:
El crecimiento económico es una variable que aumenta o disminuye el
producto interior bruto (PIB). Si el PIB crece a un ritmo superior al del
crecimiento de la población, se dice que el nivel de vida de ésta aumenta.
Si por el contrario la tasa de crecimiento de la población es mayor que la
tasa de crecimiento del PIB, podemos afirmar que el nivel de vida de la
población está disminuyendo.
• Desarrollo Económico:
En la actualidad, el concepto de "desarrollo económico" forma parte del
de "desarrollo sostenible". Una comunidad o una nación realizan un
proceso de "desarrollo sostenible" si el "desarrollo económico" va
acompañado del "humano" -o social- y del ambiental (preservación de
los recursos naturales y culturales y despliegue de acciones de control de
los impactos negativos de las actividades humanas).
En fin, el crecimiento se refiere a términos nominales económicos que
crecen o decrecen, el desarrollo económico, es un concepto más amplio, en
donde el bienestar y las consideraciones naturales tienen un papel más
fundamental.
3. ¿CÓMO SE MIDE EL DESARROLLO Y EL
CRECIMIENTO ECONÓMICO DE UN PAÍS?
Tradicionalmente, la riqueza de un país se ha medido por la Renta o
PIB per capita.
PIB per capita: relación que hay entre el PIB (producto interior
bruto) de un país y su cantidad de habitantes. Para conseguirlo, hay
que dividir el PIB de un país por la población de éste.
Pero este indicador no mide el bienestar real de la población ya que
ignora las desigualdades de la renta. Así, al dividir el total del PIB entre
su número de habitantes, lo que hace es atribuir el mismo nivel de renta
a todos, ignorando las diferencias económicas entre los habitantes.
Una de las fórmula alternativa más eficaz de medir el bienestar de un
pueblo es el IDH (Índice de Desarrollo Humano).
IDH: Índice que mide el bienestar social de un país según su esperanza
de vida, el nivel educativo, la situación sanitaria y el PIB per cápita.
4. PAÍSES CON DESARROLLO HUMANO ALTO PAÍSES CON DESARROLLO HUMANO BAJO
Esperanza de vida 77,4 años 52,9 años
Alfabetismo adulto 99% 49,7%
Mortalidad infantil 6 de cada mil 161 de cada mil
Índice de escolaridad 96% 46%
PIB por habitante 24 973 dólares / año 1 251 dólares / año
6. LA DIVISIÓN DEL MUNDO EN NORTE Y SUR
La riqueza del planeta está en manos de unos pocos
países que controlan la economía mundial. Son los
llamados Países del Norte o Desarrollados
(Exportadores de manufacturas, tecnologías y
capitales).
Los Países del Sur o Subdesarrollados son los que
no tienen un nivel mínimo de bienestar para su
población y que no controlan sus recursos naturales
(Productores de materias primas).
La distinción Norte-Sur no se aplica sólo a países en
su totalidad. La realidad es mucho más compleja, y
todos los países tienen su norte (ciudadanos que
alcanzan el bienestar) y su sur (ciudadanos con
serias dificultades para sobrevivir).
7. Mundo desarrollado. Mundo subdesarrollado.
• Los países desarrollados
tienen una alta renta per cápita,
es decir, unos elevados
ingresos medios por persona
por encima de los 10.000
dólares anuales; una industria
potente y tecnológicamente
avanzada;
• Alto nivel de vida, que se
refleja en el desarrollo de las
infraestructuras y en la
cantidad y calidad de servicios
sanitarios, educativos,
culturales, etc.;
• Además, una buena parte de
la población mantiene un
elevado nivel de consumo.
•Los países subdesarrollados tienen una baja renta
por habitante, (menor a 2.000 dólares anuales).
• Desarrollo industrial escaso o incipiente, que
depende de la inversión exterior y está basado en
la mano de obra barata y en el alto consumo
energético;
• recursos naturales destinados a la exportación;
• Fuerte dependencia del exterior en tecnología,
comercio y créditos;
• Reducido nivel de vida, con servicios de baja
calidad e inaccesibles a una parte de la población;
• Deficientes infraestructuras;
• Elevado índice de analfabetismo;
• Crecimiento demográfico muy elevado;
• Bajo nivel de consumo.
• Inestabilidad política, corrupción y desigualdad
social son corrientes en estos Estados.
Diferencias entre el mundo desarrollado y el subdesarrollado
En el siglo XXI contrastan bruscamente dos realidades: la de los países desarrollados
y la de los países subdesarrollados. Solo una de cada cinco personas habita en países
desarrollados. (El 20 % de la población mundial vive en este segundo grupo).
12. A finales del siglo XIX, los primeros países que se habían
industrializado (Europa, EE.UU. Y Japón) utilizaron su enorme ventaja
tecnológica para conquistar militarmente zonas de Asia y África en las
que aprovisionarse de materias primas y mano de obra barata.
Los países occidentales arruinaron los talleres artesanales indígenas
para obligar a la población a comprar sus productos industriales.
En la época del colonialismo los occidentales impusieron al mundo la
división internacional del trabajo que les era más ventajosa.
Especializaron a sus colonias en producción de materias primas
baratas, mientras que los europeos, EE.UU. y Japón producían bienes
industriales caros.
13. Causas internas
del subdesarrollo
económico
* Muchas de las causas
internas del
subdesarrollo tienen que
ver con la dependencia
que tienen o han tenido
estos países con
respecto a los
desarrollados.
15. 1º EL INTERCAMBIO DESIGUAL
La división internacional del trabajo
continúa y el diferencial de precios
entre las materias primas y los
productos industriales se agranda.
Los países pobres trabajan cada
vez más para pagar a los ricos los
productos industriales que
necesitan. Los países pobres
quedaron dependientes de producir
grandes cantidades de uno o dos
tipos de materias primas que,
sumadas a las de otros países,
provocan un exceso de oferta
mundial y una caída constante de
los precios.
16. 2º LIBRE COMERCIO INTERNACIONAL
La Organización Mundial del Comercio (OMC) regula el comercio
mundial, recomendando la reducción progresiva de las barreras
arancelarias.
Es decir, los países deben someterse a la libre competencia
internacional y no cobrar impuestos (aranceles) a los productos
extranjeros.
Los países pobres se ven así invadidos por productos industriales
de los países ricos y nunca pueden desarrollar su propia industria.
17. Sin embargo, cuando algunos países pobres podrían vender
con ventaja sus productos agrícolas en los mercados de las
países ricos, estos lo impiden alegando razones sanitarias o
subvencionando sus propias producciones para que resulten
competitivas.
19. La duda maliciosa:
¿Quiénes son los
principales vendedores de
armas del mundo?
¿Quiénes son las países
encargados en el Consejo
de Seguridad de la ONU de
evitar las guerras?
¡Curiosa coincidencia!
20.
21. La deuda es un medio óptimo para
enriquecerse a costa de los demás,
especialmente si se aplican altas
tasas de interés.
Por más extraño que parezca se
gana más prestando a un pobre que
a un rico. El pobre no siempre logra
restituir las sumas acordadas y,
cuando esto sucede, permite que el
acreedor otorgue un nuevo crédito
sin desembolsar siquiera un
céntimo. De esta manera, la deuda
crece y el deudor debe pagar cada
vez más en una espiral que puede
ser infinita. El deudor pobre no logra
sacudirse nunca la deuda de
encima y asegura al acreedor una
renta vitalicia con una inversión
mínima.
22. LA DEUDA EXTERNA (7)La política de créditos a la exportación
País Norte
País Sur
crédito compra
24. 4º LAS MULTINACIONALES
Las multinacionales son empresas productivas o
financieras que controlan otras sociedades de
nacionalidad extranjera. Se formaron para actuar
libremente en el interior de otras naciones.
25. Las multinacionales están
interesadas en los países
del Sur desde tres puntos
de vista:
• Producción y
comercialización de sus
materias primas.
• Utilización de su mano de
obra barata y disfrute de
otras facilidades que
reducen los costos de
producción (exenciones
fiscales, leyes ambientales
permisivas, baja o nula
conflictividad laboral, etc).
• Invasión de sus mercados
tanto desde el punto de
vista comercial como
financiero.
26.
27. 5º LOS ORGANISMOS ECONÓMICOS
INTERNACIONALES.
El orden económico internacional que consiente que las
empresas del Norte utilicen el Sur como mejor les plazca
está garantizado por los gobiernos del Norte a través de:
• Chantajes económicos y diplomáticos
• Acciones militares.
• Dominio de las Naciones Unidas.
• Control del Fondo Monetario Internacional.
• Control del Banco Mundial.
• Control de la OMC.
28. FMIFMI (Fondo monetario internacional)(Fondo monetario internacional)
• En teoría su labor es la de diseñar políticas
económicas y programas de ajuste en caso de la
existencia de desequilibrios macroeconómicos
insalvables para algún país miembro.
• En los últimos dos años, ya tras las protestas
sociales, siempre ha introducido en las agendas
de trabajo el problema de la pobreza. Ha
aprobado diferentes estrategias de condonación
de la deuda externa. Cuenta con 183 países
miembros.
29. Banco mundialBanco mundial
• Los movimientos contra la globalización
están divididos sobre su existencia.
• Se encarga de diseñar políticas de
desarrollo utilizando para ello programas
financiados por los países ricos.
30. OMCOMC
• Los países pobres son meros
convidados de piedra, ya que son los
ricos, los que protegen sus mercancías,
los que impiden un desarrollo efectivo
del comercio mundial.
• En total está compuesta por 142
estados.
31.
32.
33. ACTIVIDADES
1. Comenta la división del mundo en Norte y Sur.
2. ¿Cómo está repartida la riqueza?
3. ¿Cómo está repartido el consumo?
4. ¿Cómo se mide la riqueza y el bienestar?
5. ¿Qué es el Índice de Desarrollo Humano? ¿Qué aspectos mide?
6. ¿Qué entendemos por pobreza?
7. ¿Cuál es el origen de las actuales desigualdades económicas?
8. ¿Qué mecanismos de dominio económico utiliza el norte?
9. ¿Qué sabes del intercambio desigual?
10. ¿Qué sabes del libre comercio internacional?
11. ¿Qué sabes de la deuda externa?
12. ¿Qué sabes de las multinacionales? Da ejemplos.
34. Actividad de Mapa.
Completa tu mapa con la siguiente información:
1º Título: Indicadores del Desarrollo Humano: Desarrollo y
Subdesarrollo.
2º Pon los puntos cardinales.
3º Pon nombre a los distintos continentes y océanos.
4º Ve pintando tu mapa (o aplicando símbolos) para señalar
cada uno de las siguientes áreas del planeta:
a) Países con desarrollo alto.
b) Países con desarrollo medio.
c) Países con desarrollo bajo.
d) Países subdesarrollados.